[TERMINE / RP COMMUN 6.2] Showdown, shootout, spread fear within, without

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within, without « [censored x3] »Dans sa grande mansuétude, Jensen leur fit parvenir des trousses de soin. Comme si ça pourrait suffire à les tirer d’affaire. Connard. Mais ça valait mieux que rien. Elle, avec ses côtes pétées, ça ne lui servirait pas. Elle se traina vers Georgia, jeta un coup d’œil à sa blessure. Ça saignait, mais la trajectoire paraissait chanceuse. « Ça a traversé ? » lui demanda-t-elle en grimaçant. Si oui, ça ferait au moins une putain de bonne nouvelle, y aurait pas besoin d’aller chercher la balle. Aussi kiffant que ça pouvait être pour une femme de se prendre des doigts, dans une plaie, c’était jamais bien fou.

Jensen distribua ses petites consignes à la con, et quand il ordonna de prendre leurs armes, Symea tira la gueule. Hors de question qu’on lui prenne son doudou, même si elle aurait du mal à s’en servir. « Pas la peine de faire les bonhommes, ça se voit que vous tournez tellement entre vous que vous devez en avoir des putains de colites. Penchez-vous un peu, pour voir ? » Ça s’attrapait comme ça, une colite ? Au pire, Symea n’était pas toubib, et eux non plus, sinon, ils ne seraient pas là à risquer leurs peaux.

La Capo se sentit envahie par un curieux mélange de blasitude et de rage. On avait pas idée d’aller foutre un bordel pareil chez les gens qui n’avaient même pas finis leur café. Merde, après avoir expulsé ces enfoirés du territoire Prayer, il faudrait tout ranger. Elle ne s’en chargerait pas personnellement, il y avait des sous-fifres pour les basses corvées, mais elle risquerait sûrement de passer par le double de paperasse. Si les flics ne prenaient pas la peine de ramasser les cadavres de leurs collègues, Symea ne leur ferait même pas l’honneur de les balancer aux poissons du port. Ils finiraient aux pieds des miradors, en décomposition dans de vieilles poubelles, entre des imitations bas prix de camemberts et des litières pour chats bien garnies.

La manœuvre pour gagner du temps s’avéra payante : la cavalerie de secours, avec de nobles fusils d’assaut blancs, se rendit enfin compte que laisser une brochette de gradés atterrir entre les mains des flics, ce n’était pas malin. Ils débarquèrent dans le hangar avec une rafales de tirs. Peu nombreux, mais bien organisés et déterminés, ils étaient conscients que leurs vies valaient moins que celles de ceux qu’ils défendaient. Les principes d’égalité se terminent là où commencent ceux du pognon et de la hiérarchie. Les collègues descendirent un flic – dont les beuglements ressemblaient curieusement à ceux de Donald Trump… mais si, la star de télé-réalité ! – puis un autre.

Résumé:

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Fallenwalk, 20 mars 2021, 11h00

Comment est ce que tout cela allait se passer au final ? Pendragon faisait véritablement chier, il n'y avait pas d'autres mots, en espérant que les renforts arrivent, et que ça tourne en votre avantage mais ça paraissait plus que compliqué cette histoire. Pour le moment, il n'y avait pas des masses de solutions quoiqu'il en soit si vous vouliez limiter les dégâts, parce qu'il y en avait déjà beaucoup, des pertes, de leur côté, de votre côté aussi. C'était comme ça, inévitable dans ce genre d'attaque surprise. Tu aurais aimé être mise au courant, tu n'es pas là pour souffrir, même si tu sais que c'est inévitable, mais au moins que tu puisses avoir quelques minutes d'avance. De toute évidence, tu avais été lâchée par tes supérieurs, même si le plus probable était que Pendragon avait fait cavalier seul avec sa nouvelle équipe, sans prévenir qui que ce soit de droit. Bon, en fait ça devait être un poil plus compliqué que ça, mais tu ferais avec alors que ton flan saignait. La balle t'avait bien amochée, rien de mortel à priori, mais quand même, t'étais en train de morfler comme il faut. Tu te retenais de pousser des cris de douleurs trop importants même si ça ne changerait pas grand chose à la situation. Ainsi donc, Jensen faisait un petit topo. Tu savais qu'il mettrait ses menaces à exécution, enfin si ces petits copains étaient aussi fous que lui, mais ça, ce n'était pas une certitude même si tu n'allais pas t'amuser à tenter le diable au vue de ta blessure. La prochaine fois que tu te mettrais en maillot de bain, il y aura une petite cicatrice dans ta peau de pèche, un menu détail dans le fond même si là, ça te faisait un mal de chien. T'avais envie de mettre un gros high kick dans le faciès barbu de Pendragon mais ça pourrait être tellement préjudiciable si les autres se mettaient à tirer, et pour l'aggravation de ta blessure, donc tu faisais avec, la frustration serait là quoiqu'il en soit. Avec les trousses de soin, tu allais pouvoir faire un minimum syndical.

" Ouais, c'est passé sur le côté, j'ai eu de la chance mais ça cringe quand même. "

Tu écoutais donc Symea parler de colite, mais qu'est ce qu'elle baragouinait bon sens ? Sans doute que sa blessure commençait à la faire délirer, sans doute, assurément même. Quoiqu'il en soit, tu tentais de colmater le trou pour que ça saigne moins même si la douleur resterait là, encore un petit moment, mais tu endurerais le mal, il le fallait, surtout que la cavalerie arrivait. Combien étaient-ils exactement ? Difficile à dire, peut être une dizaine, ce serait bien mais la réplique semblait être suffisamment organisé pour que des flics tombent. Cela ne te plaisait pas plus que ça, mais vous aviez été pris par surprise, et donc, dans la nouvelle cohue, tu arrivais à voir qu'il y avait encore des personnes qui chutaient au sol, à priori, une en plus de leur côté, deux de vos renforts. Mais peut être que tu n'avais pas tout vu, peu importe, vous étiez en train de reprendre le dessus. Si Pendragon pouvait se faire trouer une deuxième trou de balle, ça te ferait méchamment plaisir, mais il ne fallait pas trop en demander.

Spoiler:

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Showdown, shootout, spread fear within, withoutPrayers vs Cops Ce que je ne sais pas c’est qu’il y a des gars en hauteur, ceux qui se sont touchés avant que les autres connards débarquent. Certains sont crevés, d’autres tiennent bons. L’un d’eux a vu un sniper sur un autre toit, un gars qui s’était installé tranquille comme si c’était un spot de bronzage. Il a capté l’équipe de bouclage en bas et communique avec les autres mais a décidé de tirer sur le sniper. Les deux autres en bas près de l’eau se sont cachés comme des couards mais lorsqu’ils ont capté qu’on était dans la merde, qu’on venait de se retrancher dans un hangar, ils se sont mis à tirer sur les flics qui nous pourchassaient jusqu’à ce qu’ils disparaissent de leur champ de vision. Pendant ce temps, Rouflaquette était en train de monter discrétos sur le toit, ils l’ont aidé à détourner l’attention ce qui a permis à Rouflaquette d’éliminer le sniper et prendre sa position avec l’arme qui va avec. Forcément, tirer ça attire l’attention. Il leur a fait signe d’attaquer de l’autre côté-là où les autres flics sont allés se foutre tandis que lui nous a fait un bref rapport sur une fréquence d’urgence. Il cherchait une tête parmi les hommes au sol au niveau du hangar principal, là où la réunion s’était passé, un gradé parmi les équipes et dès qu’il en trouva une, tira, profitant de la cohue pour tenter de blesser un gradé.

De notre côté, on est positionné, Marisol a appelé les renforts de Fallenwalk. Ils vont pas tarder à venir. Il faut qu’on tienne d’ici là. On se tient prêt, dans un silence de mort, à entendre du mouvement. Je sais pas combien de temps se passe, plusieurs minutes peut-être. Rien toujours rien. Ils sont où ces connards. Pourtant, ceux restés dehors nous ont prévenus qu’ils nous les amenaient vers nous. Mais rien. Pourtant j’ai entendu des tirs. Je regarde Marisol et me reconcentre sur la porte et sur ce que j’entends à l’extérieur.

On va leur faire bouffer leur mère à ces enculés, dis-je avec une certaine impatience.

Mais rien. Rien. Ce que j’ai appris après coup, c’est que les renforts sont arrivés rapidement par l’est, qu’ils se sont scindés en deux groupes, un pour aller aider les autres dans le hangar où étaient les gradés Prayers et l’autre pour nous sauver. Ils ont tiré sur des flics au passage et touché certains mais ils ne sont pas arrêtés parce qu’ils voulaient nous sauver malgré que deux des renforts étaient tombés. Putain, je suis pas une princesse en détresse mais on avait besoin d’eux. Ils ont pas eu le temps de s’organiser car le temps était compté. Ils se sont rapproché du hangar où on était mais personne devant. Les flics s’étaient mis un peu plus loin dans un hall où ils étaient en sécurité juste en dessous de nos deux hommes en hauteur. Quelle bande de gros débiles. Les renforts ont alors décidé de tirer dans leur direction pour attirer leur attention et donner la chance à Creeper de leur jeter une grenade. Chose qu’il a réussie. Ils se placent, tentent de se protéger mais c’est pas fou non plus. On apprend pas à se battre comme ça. Ces gars ne sont pas des tueurs. L’explosion, on l’a captée à l’intérieur du hangar. J’ai regardé Marisol et une voix dans le talkie nous annonce que les renforts sont arrivés. J’ai eu un sourire. Here we go.

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Équipe de Jensen

Les renforts Prayers étaient arrivés trop tôt au goût de Jensen, il n’avait pas vraiment eu le temps de placer ses troupes et les coups de feu qu’il entendit dans le hangar n’auguraient rien de bon. Tout comme l’explosion qu’il entendit au loin : « Merde, on se regroupe ! » Il ne fallait plus se disperser, mauvais choix tactique. Malheureusement, les deux hommes qu’il avait envoyé à l’écart étaient perdus… dans une flaque de sang. Jensen les regarda, l’air sombre avant de saisir un des otages par le bras et de poser le canon de son pistolet sur sa tempe : « Et les mecs ! J’ai… trois capos et trois lieut’ en otage, certains en mauvais état. »

Pour combattre ces enfoirés, il fallait employer leurs méthodes de toute façon ! Jensen n’avait aucune hésitation, là-dessus. Tant que Symea s’en sortait vivante, c’était l’essentiel. Le flic entreprit de gagner un peu de temps : « Vous pensez que ça ferait plaisir à votre boss qu’on les fume ? N’avancez pas » Mais au même moment, un des Prayers passa la tête sur le côté d’une caisse, un du groupe de renfort. Il fut cueillit par une balle :

« Je l’avais prévenu. » Voilà les seuls mots que Jensen accorda au Prayer qui avait montré sa tête. Il approuva le tir de son camarade d’un signe de tête. Un très beau tir, parfait. Idéal pour venger les deux agents qui étaient maintenant au sol, vivants… morts ? Impossible à savoir.

« Vous pouvez vous retirer ou vous rendre, au choix. Mais si vous avancez, ils meurent tous et vous avec. Au pire barrez-vous, il y a aura bientôt des opportunités de promotions pour les survivants. » Il y eut un autre coup de feu, les Prayers avaient continué leur avancée, en dépit de ses négociations.

*

Équipe de Miller

« On monte ! » Un de ses hommes l’aida à monter les escaliers pendant qu’un d’eux ouvrait la marche et que le dernier balançait des cartouches sur les Prayers qui montraient le bout de leur nez. C’était une catastrophe pour son équipe, elle ne servait plus à rien, ils étaient piégés et ils n’avait rien pu faire pour contenir les Prayers.

L’homme de tête enfonça une porte, au premier étage, donnant sur dans un appartement : « POLICE ! » Mais il n’y avait personne de présent. Miller se laissa tomber dans le canapé et ordonna à ses hommes de tenir les fenêtres. Avec un peu de chances, ils pourraient faire un peu de mal aux Prayers.

Pendant ce temps, il saisit la radio et lança un nouvel appel à l’aide : « Ici Miller, on est au premier étage dans un immeuble, j’ai beaucoup de blessés. » Une voix se fit finalement entendre dans la radio, un agent du SWAT, au ton grave et rassurant dit : « On est en phase de regroupement, on va venir vous chercher avec les camions blindés, tenez le coup, ne vous exposez pas trop. » Facile à dire, les renforts Prayers étaient là.

Miller les voyaient dans la rue, ils semblaient se préparer à attaquer… Par contre, qui visaient-ils ? Lui ou Jensen ?

Spoiler:

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Après la débâcle, le calme. Un calme bien trop assourdissant au goût de Marisol. Elle n'était pas du genre à rester inactive, à attendre que la merde lui tombe dessus. Quand une tempête approche, autant s'en tenir le plus éloigné possible, non ?
Sa main moite ne cessait de s'ouvrir et de se refermer sur le flingue. Elle était aux aguets, oreille tendue, le regard attentif, prête à défendre chèrement sa vie. Finalement, le silence fut rompu. Une explosion, des coups de feu, visiblement, les renforts n'étaient pas très loin. Du coup, les flics, n'allaient pas tarder techniquement. Elle jeta un regard entendu à Olivia, elle aussi n'était pas à son aise, à attendre, elle était plus du genre à prendre l'initiative. Au moins, elle s'était adaptée à la tactique la plus sûr, c'était un bon point.

De nouveau le calme, un coup de feu qui venait du hangar principal, rien de plus. Puis... Des bruits de pas, Marisol tendit le flingue, l'arme braqué sur l'ouverture...

« Hé, c'est nous ! Tirez pas ! »

Lloyd quelque chose passa la tête doucement par l’entrebâillement, pas folle la guêpe. Marisol le connaissait vite fait, un gars plus malin que la moyenne. Elle abaissa son arme mais resta en position, attendant les explications du nouvel arrivant.

« Ils se sont barricadés à côté, à l'étage, on peut bouger, les autres sont partis aider au hangar principal! »

Que faire ? Comment agir, réagir ? Fuir ? C'était pas une option, Olivia s'y refusera forcement. Le cerveau de la latine cogitait ferme. Elle n'était pas la personne en charge, mais sa vie dépendait des prochaines minutes, du coup, elle avait tout de même son mot à dire, non ?

« Lloyd, laisse des gars à toi embusquer pour tenir ces connards à leur place. Nous on devrait aller sauver le cul des autres avant tout, y a déjà Rouflaquette qui est en position qui pourra nous couvrir. Si ça te conviens. »

La dernière phrase était adressée à Olivia évidemment. Elle n'était guère jouasse à l'idée de se jeter dans la bataille, mais à quoi bon discuter ? Autant être rapide, prendre l'initiative avant que les flics aient le temps de s'organiser.

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Showdown, shootout, spread fear within, without

Fallenwalk, 20 mars 2021, 11h00

** RAPPEL : SYSTÈME DE JEU **
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** MISES EN SITUATION & JETS DE DES **

Vous voici au cinquième tour de jeu

L'ordre de jeu pour ce tour est le suivant : @Symea Oakstone > @Jensen Pendragon > @Georgia O. Noumair > @Olivia Hetfield > @Jensen Pendragon > @Marisol Florès > @Downfall (MJ)

Voici la carte générale actualisée au dernier tour de jeu :
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Et voici une nouvelle qui concerne le hangar où sont retenus en otage les gradés par l'équipe d'assaut de Pendragon :
Spoiler:

Chères PRAYERS. L'équipe d'assaut menée par Jensen dans le hangar où se tenait la réunion des gradés a toujours le contrôle de la zone malgré l'arrivée de renforts Prayers qui fragilise leur position. Vous comprenez que Pendragon souhaite vous exfiltrer grâce à la manœuvre « Taran ». Jensen tente de négocier avec les renforts leur retrait ou leur reddition. Mais les Prayers continuent d'avancer.
Comme au tour précédent, vous allez devoir jeter, Symea et Georgia, deux dés : le premier indiquera si votre plan réussira ou non et s'il suffira à contrer l'action de la BSEI/SWAT, et le second, les dégâts faits en cas de réussite. Attention, vous devez indiquer quel sera votre plan commun dans le message de jet de dés. Il vous appartient toujours de jouer le mouvement des renforts.

Non loin, Olivia, Marisol et plusieurs autres Prayers se sont repliés dans un hangar. Ils ont pris le contrôle d'un toit, ce qui leur offre un avantage stratégique certain. Leurs manœuvres réussissent et la seconde équipe d'assaut – salement amochée et amoindrie - est forcée de se replier et de se barricader au premier étage d'un petit immeuble non loin. Marisol propose alors à Olivia d'aller prêter main forte au hangar où se réunissaient les gradés tandis que quelques uns de leurs hommes assiègent l'équipe qui s'est cachée dans l'immeuble.
Olivia, Marisol, vous allez également devoir jeter deux dés : le premier indiquera si votre plan réussira ou non et s'il suffira à contrer l'action de la BSEI/SWAT, et le second, les dégâts faits en cas de réussite. Attention, vous devez aussi indiquer quel sera votre plan commun dans le message de jet de dés. Il vous appartient toujours de jouer les actions des renforts.

Récap' :

Cher JENSEN, une fois les premiers soins procurés pour stabiliser certains otages, la première équipe d'assaut organise efficacement la sécurisation du site tandis que le bruit d'une nouvelle fusillade éclate dehors. Tu lances alors la manœuvre « Taran », et le SWAT abandonne sa mission de bouclage et s'apprête à organiser l’exfiltration des otages, ainsi que des blessés et morts de la BSEI/SWAT. Afin de gagner du temps face à l'arrivée des renforts Prayers, tu tentes de négocier leur retrait voire leur reddition.

La seconde équipe est en très mauvaise posture et contrainte de se replier au premier étage d'un petit immeuble, dans l'attente d'un sauvetage par le SWAT et leurs blindés. L'appel à l'aide a été passé et les renforts arrivent.

Pour ce nouveau tour de jeu, tu vas devoir jeter six dés : les quatre premiers permettront de définir la réussite de tes manœuvres ainsi que leur efficacité contre la résistance des Prayers, et les deux derniers correspondront à des dégâts, à condition que les manœuvres soient réussies.

Récap':

>> Tous les dés doivent être jetés avant que le prochain tour ne commence, car les résultats auront des incidences immédiates sur vos possibilités de jeu. <<

Bon jeu !

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Fallenwalk, 20 mars 2021, 11h00

** INTERPRÉTATION DES DÉS **

→ Chères PRAYERS,
(DUO SYMEA/GEORGIA) L'offensive conduite est efficace et met à mal le plan de l'équipe d'assaut de Pendragon. Il apparaît clairement possible que vous puissiez prendre le dessus. Pour le moment, vous contraignez l'équipe d'assaut à se défendre plutôt qu'à attaquer. Vous mettez hors jeu quatre agents des forces de l'ordre et ne subissez aucune perte.

Résultats:

(DUO OLIVIA/MARISOL) Vous regroupez vos effectifs afin de pouvoir mener à bien votre plan. Or, au moment de pénétrer dans l'immeuble où s'est replié Miller et ses hommes, vous tombez nez-à-nez avec le SWAT : un affrontement éclate. Vous mettez six agents hors d'état de combattre et subissez trois pertes. Vous parvenez à accéder à la porte de l'immeuble mais n'y pénétrez pas encore.

Résultats:

→ Cher JENSEN,
(EQUIPE 1) La manœuvre « Taran » est menacée par l'offensive menée par les renforts dans le hangar où l'équipe d'assaut retient les otages gradés. L'assaut est brutal et cause la perte de quatre agents. L'exfiltration des gradés risque de se terminer dans un bain de sang et par un échec.

(EQUIPE 2) Miller et ses deux hommes sont dans l'attente d'un sauvetage par le SWAT. Les renforts arrivent jusqu'au petit immeuble où ils se sont repliés mais rencontrent alors les effectifs Prayers. Un affrontement éclate, mettant six agents de SWAT hors d'état de combattre et trois Prayers. La mission de sauvetage est donc retardée par cet affrontement dans lequel le SWAT est en difficulté pour repousser les Prayers qui sont prêts à entrer dans l'immeuble.

Résultats:

Nota bene : Le MJ tient un tableau des différents effectifs. Vu que vos personnages sont en pleine action, il leur est forcément difficile d'estimer le nombre de personnes engagées dans cet affrontement. Vous aurez donc des indices quant à l'état de vos troupes via les interventions du MJ, mais il vous est possible de le solliciter via MP si vous jugez que votre personnage peut avoir une idée précise de ces effectifs.

>> Le cinquième tour de jeu peut débuter <<

Bon jeu !

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within, without « [censored x4] »Les menaces de Jensen ne firent pas effet sur l’équipe d’assaut du gang, pas plus que le pistolet qu’il braqua contre la tempe de l’un des leurs. Évidemment, les Prayers préféreraient récupérer leurs chefs en vie. La hiérarchie était précieuse, la disparition de la moitié de l’encadrement pourrait porter un coup fatal au reste du groupe. Mais à situation désespérée, actes désespérés : des gradés en taule étaient aussi inutiles que des gradés fumés. Quitte à ce qu’ils se retrouvent hors d’état de servir le clan, autant s’assurer qu’ils ne diraient rien en salle d’interrogatoire. Impossible de savoir si le Procureur laisserait partir ceux-là en échange de quelque centaines de milliers de dollars bien ronflants. La libération du chef suprême avait envoyé un message : la promesse d’une destruction future. Une répétition de la manœuvre serait un aveu de faiblesse et de corruption.

L’équipe d’assaut se répartit dans tout le hangar, profitant de la couverture offerte par les caisses jonchant le vaste espace. Sur les ordres de leur chef d’escouade, ils firent feu, tous en même temps. Les policiers, retranchés en arc de cercle derrière leurs boucliers antibalistiques, protégeaient par la même occasion les camarades gangsters. La pluie de balles s’abattit sans merci sur les forces de l’ordre. Pour la première fois depuis le début de cette Blitzkrieg, les Prayers reprenaient l’avantage. Ils étaient chez eux. On ne leur enlèverait pas ainsi les leurs.

Allongée sur le sol, Symea n’était qu’une simple spectatrice des équipes de secours. Elle détestait cela, cette femme qui se targuait de sa réactivité et de son efficacité. Pire encore, même s’ils n’avaient pas été placés sous son commandement, des hommes avaient été perdus, de bons éléments. La revanche ne tarda pas, quatre flics tombèrent. Première bonne nouvelle de cette putain de journée.

Profitant du chaos chez les flics, Symea ramassa son arme. Elle aurait du mal à viser, mais tenter ne lui coûterait qu’un coup de pied dans la gueule si on l’interceptait avant. Elle roula sur le côté pour bénéficier d’un meilleur angle, esquissa un mouvement pour tirer, et grimaça de douleur. Faire feu risquerait de précipiter la chute de Jensen, déjà en mauvaise posture. Tiraillée entre ses deux engagements, ceux qu’elle avait envers lui et le clan, elle hésita, puis décida que son cher et tendre s’était décidément bien foutu de sa gueule. Qu’importe s’il crevait ici, puisqu’il l’avait sciemment mise en danger en ne la prévenant pas. Trahie, humiliée, avec un sentiment d’impuissance : une combinaison dangereuse chez Symea. Silencieusement, elle arma son pistolet.

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Équipe de Jensen

La contre attaque des Prayers fut violente, même pour Jensen, il tirait dès qu’une cible se présentait à lui : « Restez concentrés ! » Mais les conseils ne pesaient pas lourd face à un déluge de balles, Jensen réussit à se protéger derrière un des porteurs de bouclier. Il hurla dans sa radio : « Il fout quoi le SWAT ? » C’était pourtant pas compliqué de foncer droit devant soi et de percuter un mur ? Si ? Il se détourna quelques secondes des Prayers qui les attaquaient, se tournant vers les otages, croisant le regard de Georgia. Sa décision était prise.

« Tant pis pour vous. » Fit Jensen d’une voix neutre, se retournant vers les gradés Prayers, ils partiraient tous sous ses balles, simplement, il épargnerait Symea, car c’était la seule chose qui était importante à ses yeux. Les autres crèveraient et ça foutrait suffisamment la merde dans l’organigramme Prayer pour que la DPD puisse profiter du chaos et briser le gang. Un sacrifice nécessaire après tout.
Il épaula son arme, la première balle serait pour cette traitresse de Georgia, puis les autres suivraient et quand son chargeur serait vide, il utiliserait son pistolet.

Il ne sut pas d’où venait la balle qui percuta sa jambière, mais le choc le mit à genoux. Sa protection en kevlar avait empêché que la balle ne traverse, mais il sentait qu’il y avait un truc de cassé dans sa jambe. Le péroné peut-être ? Jensen tomba à genoux, son fusil lui échappa des mains : « Merde. » Il releva la tête, cherchant une solution, fuir ? Peu probable. Aux autres survivants, il dit la chose suivante : « On va faire comme eux. Prenez des boucliers humains ! » Il prit un des Capos à la gorge et le mit entre lui et les Prayers.

C’est à ce moment là qu’il vit que Symea avait un pistolet… Lui avait-elle tiré dessus ? Non ? Elle ne le ferait pas ? Il pointa son arme sur la tempe de son otage : « Lâche ça ou je le crève ! »

*

Équipe de Miller

Miller n’entendait que les coups de feu dans l’immeuble, il ne pouvait pas dire qui menait, qui perdait. Le SWAT était là pour les exfiltrer, mais ça semblait vraiment mal se passer. Finalement, le plan de Jensen semblait mal tourner, ça avait été une erreur de se disperser de cette façon. Il aurait dû lui dire. Mais là, il est trop tard, il avait une blessure grave, son équipe était décimée et il ne pouvait pas faire grand-chose pour aider ses camarades… Pas sans risquer de se faire tuer. Mais en même temps, ils avaient l’avantage sur un point.

« On va sortir, pousser les Prayers, c’est eux qui sont coincés maintenant, on tient le bas et le haut, ils sont au milieux. Dans les escaliers. On va leur balancer des grenades assourdissantes et lacrymo. On a ça ? Et on va tirer dans le tas. »

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Fallenwalk, 20 mars 2021, 11h00

La situation n'était pas simple, et la douleur n'aidait pas à réfléchir correctement. Tu avais pu nettoyer la plaie qui avait traversée, visiblement sans toucher d'organes vitaux, mais ça te lançait, ça faisait un mal de chien clairement, ça saignait, pas en abondance, mais ça saignait alors que tu avais mis la dose pour que ça compresse bien. Les renforts arrivaient, mais tu ne saurais dire combien ils étaient et si c'était des personnes expérimentées ou juste des petites recrues qui avaient les dents longues mais ainsi donc bien moins expérimentées que d'autres. Quoiqu'il en soit, ils avançaient vers vous, vers Symea, vers toi. Et malgré tout, tu vois des policiers qui tombent, qui sont mal en point. Est ce qu'ils sont tous morts ? Tu n'en sais rien mais l'équipe de renforts semble être assez efficace, il faut dire qu'ici, il y a pas mal de gradés à sauver, alors oui, ils avaient intérêt à ne pas être des bras cassés. Tu ne sais pas comment s'en sorte les autres ailleurs mais tu espères que ça ira, globalement, dans leur majorité. Ici, la situation qui semblait être mal en point semblait être en train de changer, vous alliez reprendre le dessus, petit à petit c'était ce qui se passait. Mais tu ne pouvais pas y faire grand chose, c'était avant tout les nouveaux arrivants qui faisaient la différence. Symea semblait vouloir en profiter pour dégommer Jensen. Tu ne savais pas si elle le ferait mais la douleur dans ton ventre était suffisamment forte pour que tu ne puisses rien tenter de véritable. Pourtant, devant toi, tu voyais des policiers tomber, Pendragon était touché, et ça te donnait le sourire malgré tout. Il t'en fallait peu, mais le tir à la jambe avait été précis alors qu'à présent, il prenait un des capos présent pour servir de bouclier humain. C'était bien vu, mais peut être que ça ne serait pas suffisant, vous verrez bien, la fin n'est pas encore arrivée.

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Le plan proposé par Marisol n’est pas mauvais mais il me dérange. Faut agir autrement, faut être moins con qu’eux. Les renforts sont prévenus et je doute pas qu’ils ont prévenus en retour plus haut. Phillmore doit être au courant. Les renforts vont pas tarder à arriver. C’est qu’une question de temps. Il faut les empêcher de partir mais tirer sur des blindés, ça risque pas de les ralentir.

Ça pourrait marcher mais ils risquent d’être trop nombreux et on manque de temps. Ils ont l’avantage. Non… Il faut agir autrement… Putain. Faut qu’on choppe leur gars ici et qu’on s’adresse directement aux connards qui sont là-bas. La vie de leurs hommes contre la vie des nôtres. Ils vont pas laisser crever leur équipe par fierté. J’espère qu’ils sont pas assez cons pour.

Ils ont des hommes ici. Ils vont pas les laisser crever. Je leur fais un signe pour qu’ils me suivent en direction du bâtiment où les autres Prayers tiennent les flics. Ils sont faits comme des rats. Mais l’immeuble à plusieurs étages, ils ont pu se mettre n’importe où. Sur le chemin, je récupère un de leur talkie-walkie d’un de leur gars tombé au sol que j’accroche à ma ceinture après l’avoir allumé. Peut-être que j’entendrai leurs communications. Il est temps de parler à ses connards, leur expliquer qu’ils ont perdu. Est-ce que j’aurai la bonne fréquence ? Foutrement aucune idée. On est à quelques mètres de l’immeuble sauf que des tirs retentissent. De derrière. C’est quoi cette putain de blague. On nous canarde. Je hurle qu’on se mette à l’abri, faisant feux sur les renforts flics, SWAT de ce que j’crois voir. On se protège comme on peut et on leur tire dessus en retour. Malgré la surprise, nos tirs sont efficaces et ils tombent les uns après les autres. Je compte pas leur nombre, je ne pense qu’à viser, tirer, tuer, me protéger et protéger les miens. Je vois l’un d’eux qui va pour viser Marisol et c’est une de mes balles qui l’arrête dans son élan. Je m’enlève pas l’idée de la tête qu’il faut capturer les autres gugusses dans l’immeuble pour commencer à négocier. Un Prayer tombe. Putain.

Je recule tout en poursuivant mes tirs, le temps de recharger, on me protège, et on avance. Les autres comprennent qu’il faut qu’on se bouge, qu’on entre dans l’immeuble. Mon regard se lève et je vois à la fenêtre un flic. Premier étage. Putain. Un des Prayers venu en renfort m’apprend qu’ils ne sont pas nombreux. Trois au max. Faut qu’on entre.

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Franchement ? Aller traquer des flics ? Elle comprenait le plan d'Olivia, mais elle était pas sûr que ça marche. Vu comment Woodroow dispense de la vie des hommes sous ses ordres, elle doute qu'ils vont marchander quoi que ce soit. Enfin... De toute manière, si ça venait à se gâter d'avantage, elle n'aurait aucun scrupule à se barrer, puis s'ils crevaient tous, qui la verrait partir ? Hors de question de mourir et encore moins de finir en taule. Du tout, elle hausse les épaule, c'était Olivia qui avait le lead, elle allait pas chercher à aller contre ça, après tout, elle en avait pas grand chose à faire de sortir les autres de là...

Les deux mains sur le flingue canon baissé, elle emboîta le pas d'Olivia, son regard allant à gauche, en haut, à droite, histoire d'établir la meilleure couverture possible. Heureusement que les gars qui l'accompagnait, étaient plus doués qu'elle avec des gros flingues, parce que quand une rafale de balle s'abattit sur eux, ce n'était pas avec son glock qu'elle allait pouvoir rendre la pareille. Une balle siffla à son oreille, elle se tourna, un des hommes du SWAT l'avait déjà en joue... Heureusement qu'Olivia était plus prompt qu'elle à réagir et elle liquida le salopard avant qu'elle même n'ai pu comprendre ce qui se passait. Toutefois, elle avait de bon réflexes, forcé de recula elle trouva un endroit à couvert rapidement, ce qui lui permit de faire feu sur les hommes du SWAT. Elle n'avait pas une grande habileté avec des armes d'assauts mais elle se débrouillait avec son arme de poing. Elle ajusta quelques tirs et buta même un flic, permettant aux autres de se planquer quelques peu, même si c'était pas la planque idéal.
Super... Ils venait de se faire avoir comme des bleus. Puis le SWAT, merde... Ils avaient fait un carton, plusieurs d'entre eux étaient tombés mais chez eux aussi et ils n'avaient pas l'emplacement idéal. Sûrement pour ça qu'Olivia repartie à l'assaut, determinée à mener son plan à bien. Marsiol fit feu sur les fenêtres, histoires de repousser les flics qui canardaient du haut et elle emboîta le pas à la petite troupe, tout en faisant en sorte de garder un Prayer entre elle et les flics.

Spoiler:

Showdown, shootout, spread fear within, without

Fallenwalk, 20 mars 2021, 11h00

** RAPPEL : SYSTÈME DE JEU **
Spoiler:

** MISES EN SITUATION & JETS DE DES **

Vous voici au sixième tour de jeu

L'ordre de jeu pour ce tour est le suivant : @Symea Oakstone > @Jensen Pendragon > @Georgia O. Noumair > @Marisol Florès > @Jensen Pendragon > @Olivia Hetfield > @Downfall (MJ)

Voici la carte actualisée (encore merci à Olivia et Jensen):
Spoiler:

Chères PRAYERS. L'équipe d'assaut est à présent en difficulté, l’offensive conduite par les Prayers of Insanity étant d’une grande violence. Pendragon et ses hommes sont fragilisés et la manœuvre ordonnée semble compromise. La tournure de cet affrontement s’apparente de plus en plus en un last man standing qui risque de causer de nombreuses pertes dans les deux camps, aucune reddition n’étant acceptable.
Symea et Georgia, vous allez devoir jeter chacune deux dés (la somme de votre 1er dé sera opposée à celle de l’équipe d’assaut 1 et du SWAT venu en renfort ; tandis que le 2nd correspondra à d’éventuels dégâts).

Non loin, Olivia, Marisol et plusieurs autres Prayers se sont regroupés afin de mener une offensive contre les derniers hommes de la seconde équipe d’assaut, repliés dans un petit immeuble. Or, au moment de vous engager dans l’artère desservant l’immeuble, vous êtes surpris par des tirs ennemis dans votre dos. S’en suit une fusillade nourrie et meurtrière qui ralentit votre progression jusqu’à l’immeuble.
Deux jets de dé chacune vous sont demandés (la somme de votre 1er dé sera opposée à celle de l’équipe d’assaut 2 et du SWAT venu en renfort ; tandis que le 2nd correspondra à d’éventuels dégâts).

Récap' :

Cher JENSEN, l’offre de reddition est clairement rejetée par les Prayers of Insanity. La première équipe d'assaut subit une contre-attaque brutale qui la met en difficulté. Le renfort du SWAT devient urgent, et il est essentiel d’essayer de gagner du temps. L’exfiltration des otages étant compromise, il est envisagé de les éliminer.

Repliée au premier étage d’un petit immeuble, la seconde équipe est dans l’attente d’un sauvetage par le SWAT et leurs blindés. Les renforts semblent retardés par un affrontement avec les Prayers of Insanity. Miller décide alors de mener une dernière offensive, pensant avoir un avantage stratégique. Il prévoit d’assourdir et aveugler les Prayers au pied de l’immeuble avant d’ouvrir le feu.

Pour ce nouveau tour de jeu, tu vas avoir 2 lancers à faire de plusieurs dés :
- 1er lancer de 6 dés comprenant l’opposition de l’équipe 1 aux Prayers (somme de 2 dés) et celle de l’équipe 2 (somme de 2 dés), et les dégâts en cas de supériorité (1 dé pour l’équipe et 1 autre pour l’équipe 2)
- 2nd lancer de 4 dés afin de définir l’effectif des renforts (équipe de 5 hommes qui pourront être du SWAT mais aussi de la DPD) qui vont arriver lors de ce tour de jeu (il y aura forcément au moins une équipe).

Récap':

>> Tous les dés doivent être jetés avant que le prochain tour ne commence, car les résultats auront des incidences immédiates sur vos possibilités de jeu.
Essayez donc d'être réactifs, merci ! <<

Bon jeu !

Showdown, shootout, spread fear within, without

Fallenwalk, 20 mars 2021, 11h00

** INTERPRÉTATION DES DÉS **

→ Chères PRAYERS,
(DUO SYMEA/GEORGIA) Malgré l'offensive meurtrière des renforts, l’équilibre de cet affrontement tend à revenir, la puissance de vos forces peinant à présent à mettre en échec l'expertise et la formation des agents que vous affrontez. Un étrange moment suspendu semble figer le temps tandis que Pendragon, dans la ligne de tir de la Capo Oakstone, retient en otage et menace un gradé. Les coups de feu cessent en un silence angoissant.
Vous ne faites ni subissez de dégât. Votre plan peut continuer mais est ralenti dans son exécution.

Résultats:

(DUO OLIVIA/MARISOL) Pris en tenaille, vous peinez à parvenir jusqu'à la porte de l'immeuble. Le vacarme de la fusillade et le chaos ambiant vous rendent sourdes à la manœuvre de Miller et de ses hommes. Alors que l'un de vos hommes s'apprête à ouvrir à entrer dans l'immeuble, une déflagration retentit.
Vous ne faites aucun dégât mais subissez 3 pertes. Votre plan semble compromis.

Résultats:

→ Cher JENSEN,
(EQUIPE 1) Votre formation et votre expertise d'intervention vous permettent de ré-organiser vos rangs salement décimés et d'ainsi limiter les pertes. Le temps se fige alors soudainement, dans un silence de répit. Un dernier dialogue semble pouvoir s'ouvrir.
Vous ne faites ni subissez de dégât. Votre plan peut continuer mais est ralenti dans son exécution.

(EQUIPE 2) Tel est pris qui croyait prendre. La situation s'inverse est c'est au tour des Prayers of Insanity d'être pris en tenaille entre les blindés du SWAT et l'équipe réduite de Miller. Ce dernier propose une dernière offensive qui surprend les Prayers parvenus au pied de l'immeuble.
Vous mettez 3 Prayers hors d'état de combattre et ne subissez aucune perte. Votre plan fonctionne et met en difficultés l'ennemi.

Vos radios grésillent soudain et vous annoncent en langage codé l'arrivée de deux équipes de chacune cinq hommes en renfort. La première est composée du SWAT, dans un blindé, tandis que la seconde rassemble des agents de la DPD, dans un fourgon. Ce sont donc 10 personnes qui vous viennent en renfort.
(Ces renforts arriveront lors de ton second post, et il te reviendra d'indiquer comment les deux équipes se répartissent entre les lieux d'affrontements des équipes d'assaut 1 et 2.)

Résultats:

Nota bene : Le MJ tient un tableau des différents effectifs. Vu que vos personnages sont en pleine action, il leur est forcément difficile d'estimer le nombre de personnes engagées dans cet affrontement. Vous aurez donc des indices quant à l'état de vos troupes via les interventions du MJ, mais il vous est possible de le solliciter via MP si vous jugez que votre personnage peut avoir une idée précise de ces effectifs.

>> Le sixième tour de jeu peut débuter <<
@Symea Oakstone

Bon jeu !

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Surprise, motherfucka
Nice day, huh ?ListenShowdown, shootout, spread fear
within, without « [censored x5] »Elle avait tiré. Symea avait tiré dans la jambe de son époux, en âme et conscience, mais en même temps, à cause de ce connard, elle était au sol avec des côtes pétées. Elle aurait pu – pourrait toujours – crever d’un poumon percé ; sans oublier la possibilité de se prendre une nouvelle balle dans un endroit pas agréable, comme le milieu de son front. Jensen n’allait pas se plaindre d’une malheureuse balle dans la guibole. S’il avait été un autre, elle l’aurait abattu sans sommation. Mais le voir mort n’était pas franchement ce qu’elle désirait. Malgré l’immense colère qui la secouait et effaçait totalement l’amour qu’elle lui portait, elle pensait à l’après-fusillade. Si dans le pire des scénarios, les survivants Prayers finissaient au poste, Jensen représentait sa meilleure chance d’être bien traitée.

Les flics avaient subi des pertes, malgré leurs boucliers balistiques. Jensen se jeta sur Moore pour le prendre en bouclier humain. Si elle lui tirait à nouveau dessus, elle risquait de toucher un Capo. Merde. Les coups de feu cessèrent brièvement, les deux équipes, en état d’alerte, en profitèrent pour se réorganiser. Manque de chance, Jensen repéra son flingue et agita le sien contre la tempe de Moore. Pas question que Symea lâche son arme.

« J’vous propose un truc. Vous pouvez vous barrer maintenant et rentrer bien au chaud dans votre petit quartier propret, ou on s’entretue jusqu’à ce qu’il ne reste plus personne. Même si vous nous descendez tous, des renforts vont arriver, ce n’est qu’une question de temps. À vous de voir si vous avez envie de retrouver Madame ce soir. »

Une petite dose de bluff et des menaces persos. Elle en était là, mais elle n’avait pas envie de finir au poste. D’autant que ça signerait sans doute la fin de sa carrière chez les Prayers… ainsi que celle de Georgia – en supposant que la Lieut’ ne se soit pas vidée de son sang d’ici là. Car comment la police et le Bureau justifieraient leur relaxation ? Ce serait cramé.

Résumé:

(c) 2981 12289 0

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Jensen

La douleur lançait le pied de Jensen, ça allait vraiment très mal pour eux, mais il n’était pas question de tourner le dos aux Prayers, on ne pouvait pas leur faire confiance et l’égo de Jensen lui interdisait de battre en retraite. Repartir sans prisonniers, sans avoir durablement affecté les Prayers rendrait cette opération caduque et les pertes subies, inutiles.
Symea lançait des regards extrêmement sombre à Jensen, c’est clair qu’il allait y avoir de l’orage entre eux après ça, s’ils s’en sortaient. Mais le comportement de sa femme le surprenait, pour une infiltrée, elle jouait très bien son rôle. Mais il n’avait pas vraiment le temps de se pencher sur la question. Jensen décida d’ignorer sa proposition, « revoir madame le soir ? » Pas après un tel fiasco, pas si les autres gars du groupe ne voyaient que la morgue.

Il répondit brutalement à Symea, mais ça valait pour tout le monde : « Vous commencez sérieusement à me gonfler tous. »Le flic décida de tenter le tout pour le tout et mis ses menaces à exécution. Il pointa son flingue sur le capo de Falenwalk et pressa la détente de son arme. La balle perfora le crâne du gangster de part en part. Un de moins, les policiers ne seraient pas venu pour rien aujourd’hui : « Au poste, vous avez une chance de vous en sortir. » Répondit-il à Symea. Même s’il ne comptait pas la tuer elle, il n’hésiterait pas à exécuter les autres.

La radio de Jensen émit un signal, une excellente nouvelle, audible, même pour les Prayers : « Les renforts arrivent, si vous ne voulez pas vous faire arroser le cul à coups de calibre .12, c’est votre putain de derrière chance. Laissez vos gradés sur place et tirez vous. » Il était décidément trop gentil.

*

Miller

Finalement, le plan sans espoir de Miller se présentait bien, la sortie surpris les Prayers et il réussit à toucher un homme à la poitrine, pendant même que l’autre équipe progressait et mettait deux hommes de plus sur le carreau. Les Prayers auraient du mal à se relever, c’était une certitude.

« Hé Gamine, arrête les frais, t’es cernée, rend toi et on ne te fera aucun mal. » Miller était dur à la tâche et il savait se montrer impitoyable, mais il avait un cœur, contrairement à Jensen et il ne voulait pas causer de morts inutiles, ces filles étaient en passe de se faire battre, autant arrêter les frais et sauvegarder la vie humaine, après tout, c’est pour ça qu’il était flic.

Sa radio cracha l’arrivée des renforts de la part du SWAT, il eut un sourire et tenta de convaincre encore une fois les Prayers de se rendre : « Vous entendez ? D’autres sont en train d’arriver, vous allez être en sous-nombre, rendez-vous avant qu’il ne soit trop tard. » Trop tard pour les laisser en vie malheureusement…

Spoiler:

Showdown, shootout, spread fear within, without

Fallenwalk, 20 mars 2021, 11h00

Est ce que vous allez vraiment survivre à cet assaut ? Tu n'en sais rien Georgia, tu ne sais plus où donner de la tête, c'est compliqué pour toi de suivre le cheminement des choses car la douleur est là dans ton bas ventre. Tu as mal, même si à priori, il ne semble pas y avoir d'organes vitaux touchés même si ça a bien transpercé ta peau. Pourtant, la situation se tends, la situation devient étrange car le silence s'installe presque d'un coup. Tu te dis que peut être tout le monde va s'en aller de son côté, tranquillement, ce serait le mieux à faire mais tu ne penses pas que cela va se passer ainsi malgré tout. Pourtant, c'est ce que Symea propose, elle ose, et tu trouves qu'elle a parfaitement raison, mais tu ne crois pas que Pendragon en face sera de son avis. Et ça ne tarde pas à sortir de sa bouche, que vous commencez tout simplement à le gonfler. Il ne peut pas la fermer, il doit toujours l'ouvrir, il doit toujours dire quelques choses, faire quelques choses pour vous mettre les nerfs à rude épreuve. Et il se met à exécution, de façon totalement gratuite alors que le type n'avait rien demander, il était complètement fou, véritablement fou. Pourquoi devait-il toujours en faire trop ? Parce que c'était un idiot de bourrin, et plus le temps passait, plus tu le détestais, tu avais envie de tirer comme il venait de faire à l'instant, sur son petit crâne pour constater que dans sa boite crânienne, il n'y avait rien, le néant, le vide d'un cerveau gros comme un pois chiche. Et il en faisait encore preuve devant tes yeux. Il n'en voulait qu'à Symea et toi au vue de sa proposition complètement grotesque pour les sobriquets. Tu n'avais pas peur au delà d'un certain seuil le concernant. Il disait qu'au poste vous aviez une chance de vous en sortir, mais il savait très bien que non, et puis, alors que tu allais dire quelques mots, sa radio crache que finalement des renforts arrivent. C'est un cercle sans fin, ça ne finira jamais si chacun ne s'en va pas de son côté.

" Personne ne bouge d'ici. Tu es définitivement fou Pendragon, mais si c'est une véritable guerre que tu veux, tu l'auras, ça ne fait plus de doutes. Alors partons chacun de notre côté si tu ne veux pas d'un nouveau bain de sang. "

Tu ne sais pas si ce sera suffisant pour le barbu, tu ne sais pas s'il acceptera l'offre, mais clairement, cette exécution ne te plait pas le moins du monde, il n'aurait pas dû, il n'aurait vraiment pas dû.

Spoiler:

___________

We must play our lives like soldiers in the field. The life is short. I'm running faster all the time. Strength and beauty destined to decay. So cut the rose in full bloom, 'Til the fearless come and the act is done.

A love like blood

(c)syndrome

Invité Invité

Decidemment, y a rien qui va. Le plan était pourri depuis le début, elle en avait la certitude maintenant. Elle avait décidé de suivre Olivia dans ses délires, plus par peur que par conviction, soyons honnête, mais maintenant, c'est fini. S'il fallait quelque chose pour finir de la convaincre, le Prayer juste devant elle qui se fit abattre, l'exposant pleinement à une deuxième rafale eu raison de ses bonnes intentions. Hetfield préférait mourir l'arme à la main, soit. Elle, elle préférait vivre.
Ils étaient foutus, quand est-ce que les prochains renforts arriveraient ? Certainement que d'autres viendraient, ne serait-ce que pour reprendre possession du quartier, mais pas de suite, puis Inglewood aurait du mal à tenir la position, ils le savaient, Phillmore le savait, il ne risquerait certainement pas la vie de plus d'homme dans un sauvetage désespéré. Elles étaient seules et foutus. Le flingue de Marisol ne savait plus de quel côté se pointer. Devant, derrière, sur les côtés....

« On doit se tirer Olivia, on est foutu ! Tu veux crever ? Bah va s'y toute seule cette fois ! Par contre, si tu veux vraiment aider les autres, morte, tu serviras à que dalle ! Moi je me tire, tu peux me tirer une balle dans le dos, ça changera rien ! »

Elle jette un coup d'oeil aux cinq derniers gars avec elle, ils n'avaient pas l'air chaud de crever aussi, ni d'aller en prison. La situation était claire et il semblait que le charisme d'Hetfield, n'allait pas les pousser au suicide. Sol lâcha rapidement son idée, canarder. Vider les chargeurs pour couvrir leur fuite et sauter dans le port. Ils seraient exposés, certains se feraient tués dans la fuite mais certains en réchapperait, elle ne voyait que ça comme situation de repli. Elle jeta un dernier regard à Olivia et elle donna le signal. Sortant de leur planque précaire, ils firent feu, pour l'occasion, Sol avait sortit l'autre flingue, en mode akimbo, et sans chercher à viser, elle vida l'intégralité de ses chargeurs tout en prenant la fuite, puis elle prit une grande inspiration et sauta dans le port.

Spoiler:

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Miller

Les Prayers commençaient à paniquer, en infériorité numérique et tactique, mais ils ne semblaient pas enclin à se rendre, en dépit des propositions de Miller. En particulier une des latines, en dépit de la chaleur, de la fatigue et de la douleur, le chef d’escouade fut presque certain d’avoir identifié la jeune femme. Pendragon lui en avait fait description avant l’attaque, une passeuse… Celle-ci prit en main son arme, même une seconde et elle commença à tirer presque à l’aveuglette, sur les équipes du SWAT.

Miller détestait faire ça, mais il saisit l’occasion et tira une balle dans le dos de la jeune femme. Elle s’effondra, mais sa diversion avait au moins produit l’effet escompté. Les six autres prayers avaient profité du chaos pour sortir du bâtiment en trombe et dépasser les effectifs du SWAT. Mais ce qui préoccupait le flic, c’était la jeune femme, touchée par le tir mais encore vivante, peut-être en mesure d’utiliser ses armes… et elle avait visiblement besoin de soin.

A l’extérieur, il y eut des bruits de roues, les renforts étaient en train d’arriver…

Jensen

Le coup de feu, l’exécution du Capo avait provoqué un instant de flottement dans le hangar. Jensen les avaient prévenu qu’il mettrait ses menaces à exécution. L’avait-on écouté ? Non, encore une fois les Prayers n’en n’avaient fait qu’à leurs tête et c’était d’autant plus grave que cette idiote de Noumair venait de balancer son nom devant tout le monde. Il la regarda sans sciller et dit d’une fois forte : « Si tous les Prayers sont de ton calibre Olivia Noumair, alors je ne crains rien, ferme ta grande gueule et crève de ton hémorragie dans ton coin. Sinon t’es la prochaine à en prendre une. » Il redirigea quand même son arme vers les autres Prayers.

Putain, qu’ils le saoulaient ! Jensen répéta son ultimatum : « Sauvez-ce qui peut l’être les mecs, c’est-à-dire vos boules. » Au moment où il disait ça, la porte du hangar grinça et il y eut des bruits de bottes, la plus belle et douce musique aux oreilles du flic. Jensen croisa le regard de Symea et il lui dit : « Baisse les yeux toi, sinon je te fais une Oslo. » Une Oslo, le nom d’une opération sur laquelle Elle et Jensen avaient travaillé ensemble, où ils avaient simulé l’évasion musclée et la mort d’un policier, sans éveiller les soupçons du gang qu’il infiltrait. Il comptait faire pareil pour sa femme, pour ne pas griller sa couverture.

Spoiler:

Showdown, shootout, spread fear within, withoutPrayers vs Cops
Ce retournement de situation de merde. Leurs tirs sont bons, meilleurs que les nôtres. Un des gars ouvre la porte et une déflagration retentit. D’où ? De quoi ? Bordel. On est pris en tenaille entre le SWAT et les trois clampins qui restent. On s’met à couvert pour pas être tiré comme des lapins. Des hommes de notre côté tombent, un, deux, trois. Putain. Les renforts ont pas vraiment servi. Une voix s’adresse à nous, à moi, j’en sais rien. J’allais pour lui répondre quand il me fait comprendre qu’ils ont du renfort. Et nous ? Ils sont où les putains de renfort ? Ces pas trois connards en plus qui vont nous sortir de là !

Mauvaise, je regarde loin devant moi alors que j’ai un genou à terre. Marisol me fait comprendre qu’elle se barre. Morte, je servirai à rien. Elle a raison mais putain que j’aime pas ça. Et les derniers hommes semblent d’accord avec elle. Je dis rien, je lui lance un regard noir. Quatre gars partent avec elle, en tirant comme des abrutis. Je prends la radio pour communiquer avec Rouflaquette.

Tue moi ces connards de flics.

Et je fais signe qu’on se barre au dernier qui reste avec moi. Mais par la terre. Ils ne vont pas perdre du temps à nous arrêter. Ils sont blessés, ils ont les autres qui se barrent par la mer. Je crains qu’ils aient chopé ceux venus pour la réunion. On se tire et en entre à l’arrière du bâtiment où les armes étaient cachées, par où Rouflaquette était sorti plus tôt. S’ils veulent nous chercher, ça sera un jeu du chat et de la souris, entre les containers. Je vais me les faire un à un à coup de couteau dans la trachée ces enculés. A l’intérieur, j’attrape la radio récupérée sur un des cadavres de flics et je fais signe à l’autre Prayer d’appeler les Prayers pour savoir où en sont les vrais renforts, pas ceux qui tombent comme des mouches. Il a eu le temps de bloquer la porte pour ne pas avoir de surprise.

Eh salut, bande de connards. Bien joué votre petite incursion sur les docks. Vous croyez qu’il va se passer quoi après ça ? Que vous allez vous en sortir vivant ? Parce que vous avez de jolies tenues de tantouzes en treillis cagoulé ? N’espérez pas être à l’abri après ça. N’espérez pas dormir en paix après ça, Inglewood ne vous protégera pas de la suite. Vous crèverez à Downfall pour une cause qui vous perdra.

Et je m’assurerai que vos familles crèvent avec, bande de pourris.

Tiens, j’aimerais parler au connard qui gère cette intervention. Saluuut, trou du cul, j’ai pas grand-chose à dire que … oh, les renforts arrivent. Les nôtres, cette fois-ci. À très vite !

Un coup de bluff. Je regarde le gars avec moi. Je sais pas comment interpréter sa réaction. Je prie pour que nos renforts aient compris qu’il fallait faire venir la cavalerie. Je cherche un couteau parmi les armes qui nous restent et me planque en hauteur, sur un container. Je prends mon téléphone pour appeler Phillmore.

Patron, ça sent pas bon à Fallenwalk…

J’ignore si ceux de la réunion sont en vie. En tout cas ils répondent pas. J’ignore si les renforts de leur côté, ont réussi à nettoyer. Ils nous auraient prévenus. Ils seraient là. Ça sent pas bon du tout. Mais s’il faut que je me les fasse un à un, chez eux, à Inglewood, je me les ferai. Je connais un gars qui habite là-bas.

:copyright: Crimson Day

Spoiler:

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Feel so much better than usual

- I'm unstoppable

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