[TERMINE / RP COMMUN 6.2] Showdown, shootout, spread fear within, without

Showdown, shootout, spread fear within, without

Fallenwalk, 20 mars 2021, 11h00

Suite au fiasco de Carson Street en octobre dernier, la DPD, ridiculisée, souhaite prendre sa revanche sur le cartel. Des leçons ont été tirées de cette opération ratée, et la police de l’ex-quartier expérimental s’est dotée d’une toute nouvelle force d’intervention spécialisée : la BSEI. Cette Brigade Spéciale d’Enquête et d’Intervention est conduite par le Capitaine Harden et se compose de douze agents de police entraînés et formés aux stratégies et manœuvres d’interventions en zone urbaine.

Leur première mission de terrain a lieu aujourd’hui. Après plusieurs mois d’enquête et de recueil d’information, la BSEI a décidé de conduire sa première intervention à Fallenwalk, dans le territoire des Prayers of Insanity. L’objectif est de prendre le contrôle de cette zone afin de priver le cartel de ses quais ; quais essentiels à son business. La BSEI a le soutien tactique du SWAT.

** SYSTÈME DE JEU **

Nous vous rappelons que les RPs Collectifs sont prioritaires sur tous vos autres sujets, et ce, afin d’en garantir le dynamisme et l’avancée. Nous vous demandons de rédiger des réponses courtes, idéalement entre 300 à 500 mots (maximum 700 si cela est justifié par la nécessité d’une intervention plus détaillée, comme par exemple une prise de parole), et ce toujours dans l’objectif de permettre une plus grande réactivité des joueurs.

Vous allez jouer selon un tour de jeu pré-établi qui est le suivant : @Jensen Pendragon > @Symea Oakstone > @Olivia Hetfield > @Georgia O. Noumair > @Marisol Florès > @Downfall (MJ)

Chers Prayers of Insanity, en raison de votre nombre (en terme de PJ) sachez que vous jouerez contre le MJ et Jensen Pendragon. L’enjeu est d’organiser votre défense afin de repousser les forces de l’ordre qui auront l’avantage à l’attaque, du moins, dans le premier temps du RPC. Ensuite, les dés orienteront le déroulement des actions en fonction des réussites et échecs de chacun.

Vous avez 4 jours pour répondre quand c’est votre tour. Si vous ne postez aucune réponse dans ce délai, votre tour saute et c’est au prochain joueur de répondre. Si vous savez que vous ne pourrez honorer votre tour de jeu, informez vos partenaires et le MJ dans le sujet des RPs Collectifs (lien). Le MJ désignera par @"Tag" le prochain joueur qui devra répondre.
Vous pouvez sauter jusqu’à trois tours. Au-delà, vous sortez du RP.

Enfin, des lancers de dés seront proposés par le MJ et se feront à l’aveugle afin de vous réserver plus de surprises. Vous serez sollicités dans la zone HRP, dans le sujet des RPCs (lien), et vos lancers devront être effectués dans le sujet prévu à cet effet (lien).

** MISES EN SITUATION **

JENSEN // Tes hommes et toi êtes prêts à mener l’offensive. Vous percerez le flanc gauche de Fallenwalk depuis le Civic Center. Votre action est bien préparée et une bonne cohésion anime les rangs mélangés de la BSEI et du SWAT. Vous allez commencer l’intervention.

SYMEA, GEORGIA, OLIVIA, MARISOL // Vous êtes à Fallenwalk pour différentes raisons. Symea et Georgia, vous venez d’assister à une réunion concernant l’approvisionnement du Watts et sa logistique à partir du hangar D-2. Olivia et Marisol, vous réceptionnez sur l’un des quais une « livraison humaine » - d’immigrants clandestins souhaitant recommencer leur vie à Downfall - effectuée par voie maritime.

** JET DE DES **

Chers participants, pour vous mettre d’emblée dans l’action, vous allez tous lancer un dé (lien) afin de définir l’effet de surprise des forces de l’ordre.
Symea, Georgia, Olivia, Marisol, veuillez effectuer chacune deux jets ; le score le plus bas sera retenu par le MJ (vous avez le désavantage).
Jensen, peux-tu effectuer quatre jets ; à ton résultat sera ajouté un dé du MJ.

Résultats:

--> Bien entraînée, la BSEI s'apprête à donner un assaut savamment pensé grâce à une enquête finement menée les précédents mois. De plus, la Brigade et le SWAT ont réussi à tenir leur opération secrète, si bien que les Prayers of Insanity n'ont même pas eu vent d'une rumeur quant à une probable descente à Fallenwalk.
Les membres du cartel seront donc pris de court et devront organiser leur défense dans le feu de l'action.

Bon jeu !

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Jensen se tenait devant les hommes du BSEI et du SWAT, il était temps de porter un point final à un briefing qui était particulièrement long : « Les mecs du SWAT, je vous veux en appui et en couverture des arrières, fusil de précision lourd et grenades à main. Préparez aussi les lances grenades lacry et smoke en cas de problème. » Certes, Jensen n’était pas le chef à proprement parlé du dispositif, mais il avait eu l’autorisation d’organiser l’intervention comme bon lui semblait et comme c’était une opération de la BSEI et non du SWAT, c’était la BSEI qui avait la primauté.

Jensen fit le rappel des tâches et des armements pour tout le monde. « Angel, Rickson, vous prenez les boucliers balistiques. Devon, tu as le fusil à pompe chargé à la brennecke. Horacio, le fusil avec le gros sel, tu me vaporise tous les curieux qui s’approchent. Hemworth, tu as le LBD, la même chose qu’Horacio. Clark, avec le tranquillisant, tu me shoot tous les donneurs d’ordres, il nous les faut vivants. Les autres, AR-15, munitions perforantes. Vous me lavez la racaille comme s’ils s’étaient tapé votre femme ou votre mec. » Les ordres étaient clairs et précis, Jensen ne voulait laisser aucune chance aux Prayers qui auraient la stupidité de s’interposer. Il avait demandé à son capitaine de doter son équipe avec des munitions contre les protections balistiques légères et tant pis pour les risques de surpénétration et les dommages collatéraux.

C’était une bonne équipe, la stratégie était bonne aussi et avec l’effet de surprise, il y avait moyen de frapper durablement l’organisation : « Vous vous souvenez de la mission, pénétrer au cœur du quartier, on frappe fort et sans pitié. N’oubliez pas vos masques. » Jensen remonta son cache nez et rabattit la visière de son casque lourd. Pas question de laisser la moindre chance au hasard, les Prayers allaient comprendre ce que c’est de défier une unité antigang. Il eut une pensée pour Symea, c’était surtout pour elle qu’il avait insisté pour que les gradés Prayers soient visés avec des armes incapacitantes plutôt que des armes létales… et un peu pour Olivia, au cas où elle serait présente.

Jensen fit embarquer ses hommes dans un des camions blindés et une colonne se forma rapidement. Plusieurs voitures, plusieurs fourgons, tous roulant à toute vitesse vers Fallenwalk. Pas question de leur laisser la moindre chance de s'organiser, il fallait montrer les muscles et agir rapidement, de toute façon, ce n’est pas comme si les Prayers savaient qu’ils allaient venir. Quand les troupes débarquèrent, ce fut à grand renfort de coups de bélier et de jet de grenades, d’interjections où la voix de Jensen lança un : « DPD, À TERRE BANDE DE SOUS MERDES ! »

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within, without « Well. » Son moment préféré, dans les réunions, c’était la pause café. L’occasion de ressortir son charmant gobelet en bambou décorés de petits éléphants ; un cadeau moqueur de son lieutenant. Sa « tasse de pétasse », comme Symea aimait l’appeler. Elle concédait que les réunions sur le Watts ne la passionnaient pas plus que cela. Une question de distance kilométrique : plus on s’éloignait de la Zone 33, plus elle trouvait ça ennuyeux. En plus, le hangar D-2 n’était pas le plus cozy.

C’était une journée tranquille. Chiante. Alors, quand soudainement, des fourgons remplis de flics suréquipés déboulèrent dans le quartier, ça la laissa sur le cul. Comme plusieurs autres gradés, elle alla se pencher à la fenêtre et regarda les unités d’intervention se déverser dans leurs rues. Pire que le contenu d’un pot de chambre. « Qu’est-ce que c’est que ce bordel ? » lâcha-t-elle, atterrée, son café encore fumant à la main. Autour d’elles, ses collègues étaient plongés dans le même état d’ahurissement et de consternation.

Les coups de bélier claquant dans les portes du rez-de-chaussée finirent par rebrancher les connexions neuronales. « Putain, faut pas rester là, on évacue ! » eut-elle la présence d’esprit de râler, réveillant ceux qui ne se dirigeaient pas déjà vers l’arrière du bâtiment. Dans une formidable confusion, les gradés s’engouffrèrent dans un escalier, appelant leurs subordonnés pour demander des renforts. Chacun y allait de ses propres consignes. C’était le bordel, et Symea n’arrivait pas à se faire entendre entre le boucan de ses collègues et celui provoqué par la DPD. La pire situation possible : pleins de gradés avec des statuts égaux dans un espace restreint. Ça allait vite l’agacer.

Sérieusement, 'faisait chier. Ils n’avaient pas d’équipement convenable. Contrairement à ce qu’on pouvait penser, les Prayers ne planquaient pas des armes lourdes dans chacun de leurs entrepôts. Quant aux fusils d’assauts qui leurs servaient de nounours, encore une fois, c’était une légende urbaine, ces machins étaient trop encombrants. Hors patrouille, comme tous les gens normaux, les Prayers ne se baladaient qu’avec un pistolet. Parfois une ou deux grenades, mais ça, c’était pour le fun.

« Ils ont l’air suréquipés, ces zouaves, » siffla-t-elle en se tournant vers les Lieut’. « …. C’est qui, putain ? Ils se sont identifiés d’un corps précis ? »

Résumé:

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« Allez, sortez dans le calme. »

« Trois morts... Si ça te fais rien, je vais rester avec eux, si tu peux charger quelqu'un d'autre de nettoyer ça, ça ... »

« Et merde ! DISPERSEZ-VOUS, BOUGEZ, BOUGEZ, BOUGEZ !!!! »

Spoiler:

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Fallenwalk, 20 mars 2021, 11h00

Carson Street, tu ne cessais de repenser à ce jour là, parce que la DPD avait pris une sacré claque, sans que rien ne puisse avoir été préparé à l'avance, et tu te doutais qu'ils allaient prendre leur revanche, parce que Pendragon. Il n'y avait pas à en dire plus, tout partait de lui, il n'y avait pas de doute à avoir. Il préparait la vengeance, parce que oui, la vengeance aurait lui et il en serait le leader. Est ce que ce serait un camouflet à nouveau ? Il y avait peu de chance que ce soit ainsi, car ils tireraient quelques leçons de leurs erreurs. Est ce que vous auriez autant de chance ? Non, tu le savais bien, mais ça ne t'empêchait pas de continuer à agir comme tu le faisais jusqu'à présent. Tu avais entendu parlé de BSEI, mais tu n'avais pas pu te renseigner plus, même si tu avais cru comprendre que ces flics là allaient être bien entrainés. On ne serait pas au niveau du SWAT à priori, peut être mieux, peut être moins, difficile à dire, ça semblait encore assez expérimental, comme le quartier à sa création. Mais bon, pour le moment, c'était l'heure de la réunion à propos de ton quartier, de l'approvisionnement du Watts, pour qu'ils puissent continuer de voir le lapin blanc au Wonderland. Cependant, ton petit sourire habituel s'échappa au profit d'une moue que tu n'aimais pas avoir. Comment cela était-il possible ? Comment est ce qu'ils avaient pu arriver sans que tu ne sois au courant de rien ? Est ce qu'ils t'avaient lâchés au sein de DPD au point de ne plus laisse filtrer ce genre d'informations ? Est ce que c'était Pendragon qui avait réussi à leur monter le bourrichon ? Saleté d'enfoiré, plus le temps passait, et plus tu le détestais, tout simplement. Mais pas le temps de t'apitoyer sur ton sort, car tu le savais pas combien ils pouvaient être là dehors. Il faut évacuer, alors tu te mets presque instinctivement dans le sillage de Symea.

" Tu te demandes qui cela peut être ? Pas besoin de s'annoncer, c'est notre dalleur adoré : Pendragon, donc de l'anti-gang et du SWAT au moins. J'ai entendu parler d'une nouvelle unité, peut être qu'ils viennent tester leur troupe, je sais pas. "

Bref, tu sentais que ton derrière allait clairement chauffer, et tu ne parlais pas de certaines possibilités sexuelles qu'il serait possible de faire à ton trou de balle.

Spoiler:

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Showdown, shootout, spread fear within, withoutPrayers vs CopsY'a des jours où j'aurais dû rester au lit. J'ai pas assisté à cette réunion de merde où des capos et où certains lécheurs de couilles sont présents. Un truc concernant le réapprovisionnement du Watts. Les quais de Fallenwalk sont un atout non-négligeable que ces chiens de Shadows avaient gardé pendant trop longtemps. Je suis sur les quais à la demande du patron pour lui faire un rapport. Des migrants débarquent. Parait que c'est toujours pire ailleurs mais j'ai jamais vu cette ville comme un paradis surtout quand je les vois débarquer avec des gosses en bas âge, des gamins qui n'ont, pour certains, pas encore vécus d'horreur. Bienvenue à Downfall.

Des passeurs sont là, je vois Marisol non loin tandis que je fais le tour des lieux, que j'observe, pointe des failles que j'irai faire remonter au capo de Fallenwalk. Où est la surveillance en hauteur ? Je les vois pas. J'allume une cigarette et souffle en l’air. L'autre brune alors non loin de moi m'annonce qu'il y a trois morts. Dans un truc aussi exigu, c'est presque surprenant. Occupée avec les arrivants, elle me demande d'envoyer des personnes pour nettoyer. Elle m'a pris pour un larbin à qui on peut donner des ordres ?

Bien sûr, j'ai rien d'autres à foutre ... Que je lâche alors qu’elle n’a pas fini de parler.

Je siffle en plaçant mes deux doigts dans ma bouche et fait signe à deux Prayers qui tournent la tête vers moi. Moche pour eux mais ils vont nettoyer les cadavres. Mais j’ai pas le temps de leur donner les consignes que, soudain, des crissement de pneus, s'entendent. Je vois tout au ralenti et le temps que l'information monte au cerveau, c'est trop tard. Putain, c'est quoi cette merde ? Il me fait trop de secondes pour hurler :

Barrez-vous, bande de sguègue !

En direction des nouveaux arrivants. Il fallait profiter de la cohue causée par la quarantaine de personnes présentes pour se faufiler. Je suis pas responsable de ses gars mais je dois aider à sauver le cul aux Prayers. Marisol semble avoir la même idée. Ou presque. On part sur la gauche avec eux, d'autres Prayers se faufilent avec nous tandis que d’autres vont se planquer ailleurs, se poster à des angles d'immeuble, arme aux poings, prêts à recevoir les flics. Je leur fais signe de nous suivre mais ils ne nous voient pas. Une dizaine de nos gars avec les passeurs sont avec nous. Il nous faut des armes et un gars de Fallenwalk me fait comprendre qu’il y a des armes non loin. Hors de question de laisser ces enculés sur notre territoire. Posant ma main sur ma veste, je sens en dessous mon arme. Je regarde en l’air. Elle est où la surveillance ?! Tête basse, je pousse la masse à se diriger en direction de l’entrepôt où des armes sont planquées pour ce genre de situation. Deux tirs retentissent en hauteur. Bordel.

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Fallenwalk, 20 mars 2021, 11h00

** RAPPEL : SYSTÈME DE JEU **

Spoiler:

** MISES EN SITUATION & JETS DE DÉS **

Vous voici au second tour de jeu

Sachez que nous revenons sur le tour de jeu initial : @Jensen Pendragon > @Symea Oakstone > @Olivia Hetfield > @Georgia O. Noumair > @Marisol Florès > @Downfall (MJ)

A TOUS, suite à vos introductions, je vous demande de vous placer clairement sur la (super) carte réalisée par Jensen, aidé de Symea et Olivia. Vous n'aurez qu'à préciser votre placement en gras, dans votre RP.

Jensen, aka. BSEI/SWAT, jouant en premier, cela lui permet de demeurer, pour sa prochaine réponse, dans l'inconnue de votre placement (en terme de jeu de rôle, vous n'avez plus le désavantage vu que vous connaissez bien le terrain).

Chères PRAYERS, je souhaite que vous restiez par groupe de deux PJs afin de limiter les affrontements à deux endroits différents (avant une possible réunion quelque part, en cours ou fin de RP). Ce qui nous donnent les tandem Symea/Georgia, Marisol/Olivia.
Je vais vous demander à chacune deux jets de dé, afin de savoir combien d'hommes vous avez avec vous, et la réussite de vos futures actions en termes d'organisation de votre défense. Idéalement, chacune fera une action différente par duo (appeler des renforts, donner des ordres aux hommes, réfléchir à un stratagème, chercher à joindre l'autre équipe, etc). Histoire qu'il y ait un peu de surprise, je ne vous dis pas à quoi correspond votre premier et second dé.
Afin de rajouter un peu de potentielles difficultés à tout cela, je vous demande un troisième jet de dé. Suspens.

Cher JENSEN, je te confie l'organisation de ces deux offensives conduites distinctement pour tes équipes d'assaut. Je vais te demander quatre jets de dés afin de définir l'efficacité de tes manœuvres en fonction de l'organisation de la défense des Prayers.

>> Tous les dés doivent être jetés avant que le second tour ne commence, car les résultats auront des incidences immédiates sur vos possibilités de jeu <<

Résultats:

** INTERPRÉTATION DES DÉS **

→ Chères PRAYERS, sachez que @Symea Oakstone/@Georgia O. Noumair ont 7 hommes et femmes avec elles (des Lieutenants et Capo), et @Marisol Florès/@Olivia Hetfield en ont 9 (des soldats qui surveillaient le débarquement et d'autres qui étaient non loin, sur d'autres livraisons).
Cependant, la confusion est telle qu'aucune de vos actions ne réussira. Symea/Geogia/Marisol, cela pourra être indépendant de votre volonté. Par contre, Olivia, c'est toi qui sera responsable de l'échec de ton action. Pour rappel, vos actions sont au choix. Nommez-les clairement même si vous savez que vous échouerez à obtenir l'effet escompté. Voici quelques exemples d'action possible : contacter avec des renforts ou l'autre équipe, calmer les esprits pour élaborer une stratégie, donner des ordres qui seront entendus ou respectés, se rapprocher d'un endroit où sont entreposées des armes, etc.
Afin, Marisol, tu es blessée légèrement (blessure au choix), mais n'est pas empêchée ou ralentie dans tes actions et mouvements. Symea, tu es blessée plus gravement (blessure aussi au choix), et tu es donc en difficultés pour tes prochaines actions.
Vous avez la liberté d'articuler les résultats entre eux comme vous le souhaitez (par exemple, Symea, tu échoues ton action car victime d'un tir).

→ Cher @JENSEN PENDRAGON, tes équipes d'assaut ont vraiment pris de court tout Fallenwalk et vous avez pu vous positionner exactement comme vous le souhaitiez. Vous avez pris le contrôle des toits environnants et gagnez un sacré avantage en terme d'offensive. Les Prayers sont en très mauvaise posture.
Tu peux à présent jeter un dé, auquel un dé du MJ s'ajoutera, pour estimer les dégâts côté Prayers de cette première salve.

Résultat:

Bon jeu !

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Équipe 1 : Hangar Prayer.

Jensen était en second, juste derrière le bouclier balistique, alors que ses hommes pénétraient dans le bâtiment. Il y avait déjà des coups de feu, le but était de pousser les Prayers dans leurs retranchements, les obliger à reculer, à s’acculer, ou alors à se jeter dans les bras des équipes du SWAT. La surprise était totale, les quelques Prayers qu’ils croisèrent furent contraints de se replier sous le déluge de feu de la DPD. Aucun, sauf un que Jensen toucha à la tête, ne tomba, mais ils ne pouvaient rien faire.

L’entrepôt était constitué d’un dédale de caisses diverses, avec une passerelle en hauteur, à quelques mètres au-dessus d’eux. Jensen gardait un œil sur celle-ci. Il eut l’excellente surprise de voir un groupe de Prayers l’emprunter. Ils étaient totalement vulnérables, certainement des gradés en réunion. À cause de la visière de son casque, il ne voyait pas Symea, impossible de donner un ordre spécifique… Il aurait pu décapiter les Prayers en demandant à ses hommes d’arroser les gangsters à coup de 5.56… mais ça aurait été beaucoup pour lui. À la place, il ordonna : « HORACIO, LA PASSERELLE. » L’homme leva son arme et tira sur le groupe, une forme s’effondra avant de se faire trainer par les autres, à cette distance, même avec les munitions en caoutchouc, elle allait prendre chère. Jensen espérait qu’il trouverait Symea avant qu’elle n’ait la bonne idée de se jeter dans les bras du SWAT. « On continue, on ne se relâche pas. »

Jensen aurait juré avoir entendu un juron disant « niquez vos mères. » Typique de Symea.

Équipe 2 : les quais.

Le groupe d’assaut des quais, devant la fuite des immigrants a pris la décision d’abandonner le bouclier balistique pour gagner en mobilité. Le chef de cette équipe, Miller, ordonne de tirer à coup de gros sel et de LBD dans les migrants afin de les immobiliser, en vue de les interroger plus tard. Il ne pousse pas trop non plus, pour éviter de tomber dans une embuscade. D’ailleurs, alors que ses hommes avancent, un coup de feu retentit et une balle ricoche juste aux pieds de Miller.

Il y a encore des hommes Prayers sur le toit. Miller a eu de la chance de ne pas la prendre en pleine tête. Avec ses hommes, il se met à couvert l’espace d’une seconde, puis un autre coup de feu résonne. Il y a une chute ; le sniper Prayer vient de tomber de son toit, éliminé par un tireur du SWAT. Juste aux pieds d’une femme à l’allure hispanique.

Spoiler:

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Nice day, huh ?ListenShowdown, shootout, spread fear
within, without « [censored] »Comment Georgia avait déduit la présence de Jensen sur les lieux, vu la variété dans les rangs de l’antigang et le secret presque étatique entourant la BSEI, demeurerait un mystère. Mais la bougresse avait raison. Quelques instants plus tard, Symea reconnut l’accent délicat de Jensen, portant au-dessus de tout ce bordel. La rage menaça un instant de l’étrangler, mais la Capo la strangula et la réserva pour un moment où elle serait plus lourdement armée.

Oakstone s’engouffra avec Georgia, Moore, les gradés de Fallenwalk et leurs hommes sur la passerelle pour gagner la sortie. Le plus important était de prévenir Florence et de demander des renforts, de préférence le maximum disponible. Elle se saisit de son talkie-walkie pour contacter Joachim, son Lieut’, à qui elle avait confié son quartier en son absence, mais elle ne reçut pas de réponse. Inattention de l’autre côté, saturation des ondes, brouilleurs ? Elle n’eut pas le temps de réitérer sa demande.

La voix de Jensen ordonnant de tirer sur la passerelle, porta jusqu’à celle-ci. Un des flics cagoulés pointa son arme sur eux. Symea, 1979-2021. À cette distance, impossible d’éviter, aucune chance d’en réchapper. Elle allait mourir là, comme ça, sur ordre de son cher et tendre. Journée de merde. Au moins, elle ne crèverait pas dans son lit. Elle reçut la balle dans les côtes ; elle s’effondra sous la poussée et la douleur, avec l’impression que sa cage thoracique venait d’exploser en un million de confettis osseuses. Respirer devint difficile, elle eut vraiment envie de mourir, mais la délivrance ne venait pas. Une bonne minute passa avant que le choc se dissolve lentement. On la tirait en arrière, ça tirait sur ses bras et par extension sur sa poitrine abîmée, et par automatisme, elle lâcha une série de juron coloré sur les géniteurs de tous les flic présents dans le hangar. Sa créativité indiquait qu’elle n’avait pas encore passé l’arme à gauche, elle s’en trouva très confuse, jusqu’à ce qu’elle tâte avec précaution sa blessure. Ce qu’elle sentit ne lui plut pas, mais le projectile n’avait pas traversé… Des balles en caoutchouc ? Qu’est-ce que c’était que ce cirque ? La DPD n’avait plus assez de couille pour y aller avec de vraies munitions ?

Sa respiration était sifflante, elle sentait une pression anormale sur son poumon, mais celui-ci ne semblait pas perforé – sinon, ce serait de la mousse qui sortirait de ses babines, pas des vulgarités. Appuyé sur le premier venu, elle se remit sur ses pieds, pliée à cause de sa blessure. Saturée par la douleur, elle tenta de se reconcentrer sur la situation, mais la souffrance se faisait de plus en plus aiguë. Elle avait beau être au tapis pour l’instant, si l’occasion se présentait, elle démonterait tout ce qui se présenterait en face. Peu importe qui se cachait sous la cagoule.

Résumé:

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Showdown, shootout, spread fear within, withoutPrayers vs CopsMarcher avec ce troupeau paniqué a le don de m'agacer. Tête enfoncée, je regarde, donnant des coups de coude sur les côtés pour ne pas me faire écraser par la masse compacte. Les bébés hurlent, des pleurs résonnent. Grosse ambiance. Des décharges de tir se font entendre et je suis trop loin pour être touché. Des cris retentissent. On tire sur la foule. Je jette un coup d'œil, ça ralentit la progression de derrière.

Je choppe un gars à côté de moi, lui enfonce sa tête dans ses épaules et lui donne des ordres. L’information passe entre les Prayers. Il faut contre-attaquer d’une manière ou d’une autre. Pas fuir comme des lâches. Y’a une putain de crainte dans son regard mais il ferme sa gueule. Il nous faut gagner du temps pour nous armer convenablement face à ces gugusses. Une idée me vient tandis que deux Prayers ralentissent le pas pour se positionner derrière des caisses de métal, armes en mains.

Vous êtes venus pour fuir le reste du monde mais ça, ce qui se passe là, ça va être votre vie ici entre ces murs ! Vous êtes des Downfalliens maintenant ! Battez-vous maintenant, défendez-vous pour votre vie, votre liberté, bande de connards ! Montrez-leur qui vous êtes !

Le "bande de connards" est sûrement de trop. Je sais pas ce qu’il va pas dans mon discours mais apparemment j’ai pas le don d’encenser la foule. Échec total. Les gens n’écoutent pas, trop apeurées et la masse qui tombe d’une toiture fait crier plus d’un qui poursuive leur avancée vers une sortie possible, amené par les passeurs. Je peste et j’entends les premiers coups de feu provenant des Prayers sur les flics. Ils répliquent. Je finis par choper cette fois-ci Marisol, bien trop concerné par les nouveaux.

Tu viens avec moi, on va s’armer maintenant et répliquer. Tu laisses ces gugusses se démerder.

C’est pas une demande, c’est un ordre, ma voix est claire là-dessus. La masse arrive jusqu’au hangar où est la réserve d’armes du coin. Je vais pour ouvrir la porte mais elle ne veut pas. Non mais c’est quoi ce bordel. La porte veut pas s’ouvrir et c’est un gars qui a l’habitude des quais qui me pousse pour ouvrir d’une certaine façon cette porte. Mais c’est quoi ce délire ? Pour éviter que n’importe qui entre. Aussi discrètement que possible, les Prayers rentrent dans le hangar, fermant la porte derrière eux, pour laisser les flics poursuivre les habitants et nous permettre de les attaquer par-derrière.

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Fallenwalk, 20 mars 2021, 11h00

Tu n'aimais pas ce qui était en train de se tramer clairement, mais tu aurais dû le voir venir, tu aurais dû mais non, tu n'as pas été prévenue, comme si tu ne comptais plus pour grand chose. Est ce qu'il avait réussi à leur retourner le cerveau ? Tu te posais à peine la question, il allait déjà falloir survivre tout simplement, ce n'était pas gagné. Heureusement, Symea n'était pas loin, elle avait le don d'attirer les projectiles, mais tu ne saurais jurer de rien, peut être que tu n'y échapperas pas cette fois-ci. Surtout que la présence de Jensen se confirmait, comme par hasard, il était toujours dans les mauvais coups, ou les bons selon le point de vue. Mais en vérité, dans ton esprit, il serait toujours présent dans ce genre de coup, c'était de la logique, même si ce ne serait pas toujours vérifiable. Bref, plus de questions à se poser, il fallait se mettre à l'abri, n'est ce pas ? C'est ce que vous faites et contre toute attente, c'est bien Oakstone qui se prend une balle dans le poitrail. Et merde, c'est pas le moment de clamser ma cocotte, tu risques d'avoir besoin d'elle, mais déjà, tu essayais de voir ce qui serait possible de faire sans elle, sans l'oublier bien entendu, mais elle risquait de clairement un peu trop souffrir, en espérant qu'elle survive. Elle avait la carne résistante, elle s'en sortirait, tu le savais, au pire, tel un phénix elle renaitrait de ses cendres. Tu l'aidais donc à se relever puisque tu étais dans son sillage, et vous tentiez de vous mettre à l'abri à défaut d'avoir les renforts qu'il fallait.

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Qu'est-ce qui pourrait être pire que de tomber dans une embuscade de flic ? Tomber dans une embuscade de flic avec Hetfield. Cette nana était complètement tarée. Répliquer ? À coup de Glock face à des gars du SWAT sur-armés et sur-entraînés ? Pas moyen ! Mais visblement, elle avait pas son mot à dire. Elle était toutefois réticente et s'abstint de sortir son arme pour le moment. Elle faisait aussi abstraction des paroles « encourageantes » d'Olivia aux migrants. Bien-sûr qu'ils écoutaient pas, une bonne partie parler pas l'anglais. Elle s'égosillait à en faire crever les mouettes de jalousie... pour rien. Marisol lui jeta un regard lourd de mépris. Sacrée connasse ! Elle voulait seulement qu'ils crèvent pour couvrir sa fuite.
Sol attrapa une gamine par la taille dans sa fuite pour la mettre à l'abri. C'est à ce moment là que le SWAT décida de faire feu face à la foule peu coopérative. Instinctivement dès les premières détonations, Sol présenta son dos pour ne pas exposer la gamine. Le projectile en caoutchouc s'écrasa sur son épaule avec violence envoyant la passeuse au sol. Elle poussa un cri de douleur mais elle se releva quelques secondes plus tard. Elle était quit pour un gros bleu qu'elle trimballerait pendant deux bonnes semaines, mais elle avait pas le temps de s'en émouvoir.

« Allez, fonce ! »

La petite courut devant elle lorsqu'une gerbe de gros sel la faucha en pleine course, envoyant la gamine au sol. Marisol resta quelques instants interdite, c'est la poigne d'Olivia sur son épaule qui reconnecte la latine avec la réalité. C'est à ce moment là qu'un des guetteurs tomba du toit juste devant Sol, plus prompt qu'un livreur DHL. La latine attrapa l'AK47 qui avait accompagné l'homme dans sa chute et leva le fusil d'assaut. Elle visa mais au moment où elle pressa la détente quelqu'un la bosucula, sauvant probablement la vie de cet enculé avec son flingue au gros sel. Néanmoins, la rafale assourdissante eu l'effet de voir le SWAT se mettre à couvert. Marisol en profita pour foncer. Elle rejoignit Olivia au moment où un des gars ouvrit la porte d'un petit hangar. Oui, des armes. Hetfield ne se rendrait pas sans se battre. Sol lui donna l'AK-47 qu'elle tenait au moment où elle passait la porte.

« Tu sauras mieux t'en servir que moi. »

Elle reprend son Glock et s'avance dans le hangar, arme en avant pour s'assurer qu'il n'y avait pas de flic. Marisol fait signe à un gars – Tony- d'inspecter le reste du hangar et de sécuriser l'entrée. Elle n'a pas à donné d'ordre mais elle l'emmerde.

« Bouge Tony putain !»

C'était évident qu'ils n'allaient pas tenter une sortie du côté où ils étaient entrés et c'était évident aussi qu'il ne fallait pas trop traîner. Bientôt le SWAT investirait les lieux à coup de fumigène et lacrymo. Sol s'avance vers Hetfield, elle est déterminée, déterminée à vivre, pas forcément au combat, malgré son petit coup de sang plutôt.

« Qu'est-ce tu veux faire ? On est pas des putains de soldats et tu veux répliquer ? Faut qu'on se tire ouais, on se disperse et on court, on connaît les lieux, ces hangars c'est un vrai dédale on pourra s'échapper. »

Spoiler:

Showdown, shootout, spread fear within, without

Fallenwalk, 20 mars 2021, 11h00

** RAPPEL : SYSTÈME DE JEU **
Spoiler:

** MISES EN SITUATION & JETS DE DES **

Vous voici au troisième tour de jeu
Nous conservons le même ordre : @Jensen Pendragon > @Symea Oakstone > @Olivia Hetfield > @Georgia O. Noumair > @Marisol Florès > @Downfall (MJ)

Chères PRAYERS, vous êtes en difficultés. La confusion peine à être disciplinée. Vous pourrez cependant cette fois-ci organiser votre défense et réussir à la mettre en place. Par contre, vous ne ferez pas encore de dégâts côté BSEI/SWAT.
Pour rappel, le tandem Symea/Georgia est acculé en haut de la passerelle avec 6 autres Prayers dans le hangar. Le tandem Olivia/Marisol s'est introduit dans un hangar avec quelques autres Prayers. En comptant les soldats encore dehors, vous avez en tout le soutien de 7 personnes. Les migrants ont fui, se dispersant dans Fallenwalk.
Vous allez devoir toutes jeter un premier dé (dont vous ne connaîtrez les effets qu'au prochain tour). Ensuite, Olivia et Marisol, vous allez en lancer un second ; il s'agira d'une opposition entre vos plans et d'ainsi définir lequel sera adopté (sachant qu'Olivia est pour une riposte, Marisol pour une fuite).

Résultats:

Cher JENSEN, les offensive des deux équipes continuent d'être menées avec succès. Vous faites à nouveau des victimes. Tu peux jeter un dé avec avantage (donc deux dés et je conserverai le meilleur score) auquel s'ajoutera un dé du MJ.

Résultats:

>> Tous les dés doivent être jetés avant que le second tour ne commence, car les résultats auront des incidences immédiates sur vos possibilités de jeu <<

** INTERPRÉTATION DES DÉS **

→ Chères PRAYERS, sachez que l'effet de l'un de vos lancers de dés ne sera connu qu'au prochain tour. Pour l'instant, vous élaborez vos contre-attaques. A ce propos, le plan que choisira @Olivia Hetfield sera accepté par @Marisol Florès.

→ Cher JENSEN, tes équipes mettront quatre Prayers supplémentaires hors d'état de combattre (le choix de la répartition de ces quatre dégâts t'est donné).

Bon jeu !

Invité Invité

Équipe de Jensen.

Tel des rats, les Prayers refluaient en désordre, Jensen sentait couler en lui un feu qu’il n’avait plus ressenti depuis des années. Décapiter un gang, lui infliger des pertes telles qu’ils ne pourraient pas se relever. C’était la promesse de toute cette opération et la preuve à ce con de Woodrow qu’on n’avait pas besoin de lui pour défoncer du Prayer et rétablir l’ordre.

Mais Jensen et ses hommes avaient bien travaillé, sur la passerelle, il y avait plusieurs accès pour fuir, des escaliers incendie par exemple. Mais chacune de ces portes étaient gardé par un tireur d’élite du SWAT. La consigne était claire, tirer avec des balles de gros calibre dans les jambes de ceux qui tentaient de fuir.

La colonne d’assaut avançait implacablement, le bouclier balistique arrêtant les balles que les gangsters avaient l’audace de leur expédier. Mais Jensen ne voulait pas prendre le risque de voir les Prayers fuirent, de laisser le moindre d’entre eux s’échapper. Il prit une décision risquée mais qui pouvait tenir la route. « Devon, Hemworth, avec moi. Les autres, vous restez en bas et vous sécurisez. Qu’ils ne tentent pas de redescendre. »

Sans le bouclier, ils seraient plus vulnérables et ils ne seraient que trois là-haut. Mais ils seraient aussi plus rapides. Jensen en tête de colonne, avança au-devant des Prayers, ils n’étaient pas encore visibles d’où il était, mais il savait d’avance qu’il ne lui faudrait pas hésiter une seule seconde. Et c’est ce qui se passa. De son AR-15, il balaya le groupe de Prayers qu’il avait devant lui. Pourquoi le faire ? Car il avait vu Symea au sol, trainée par une trainée et c’était la seule qui le préoccupait assez pour ne pas faire ce qu’il rêvait de faire. Deux rafales de deux balles. Dans un couloir littéralement.

Cette garce de Georgia pris une balle dans le ventre, son Capo en prit une en pleine poitrine, mais il continuait à bouger ce con. Un larbin en prit une en pleine tête et un des gradés de Fallenwalk fut touché à la gorge. C’était pas mal. Il y eut alors un silence surréaliste dans le hangar. Jensen le brisa en disant d’une voix inflexible : « Rendez-vous et vous bénéficierez d’un procès équitable et de soins médicaux, résistez et vous périrez tous. Le bâtiment est cerné, vous êtes sous armés, en sous nombre. C’est ma première et dernière offre. »

*

Équipe de Miller

Miller était assez content de la façon dont ça se passait pour lui. Quelques clandestins qui ne pouvaient pas bouger à cause des tirs de LBD. Par contre, il se demandait quand et par où viendrait la contre-attaque Prayer.

Comme si quelqu’un lisait dans ses pensées, il y eut un coup de feu et un homme derrière lui s’effondra, puis un autre, quelques secondes plus tard. Car en dépit des snipers, ils restaient dans un territoire hostile. Sans paniquer, il ordonna un repli vers un hall non loin, alors qu’une autre balle venait ricocher à ses pieds. Merde. Ils étaient en train de se faire acculer par des Prayers, dans un bâtiment Prayer, sur un territoire Prayer. Mais qui ? Comment ces connards avaient bien pu se retourner aussi vite ?

Spoiler:

Invité Invité

Surprise, motherfucka
Nice day, huh ?ListenShowdown, shootout, spread fear
within, without « [censored x2] » Ces saloperies de côtes pétées étaient franchement gênantes. Georgia l’avait ramassée – ça allait finir par devenir une habitude – sauf que cette fois, la blessure était plus gênante qu’un petit éclat de balle dans une cuisse. La respiration sifflante, Symea la laissa la traîner au milieu des gradés et des hommes de main. Dans la cohue, le talkie-walkie de Georgia grésilla ; il sembla à Symea que la Lieut put transmettre à Florence un état de la situation. En se penchant à son oreille, elle lui demande confirmation. « C’est bon, tu les as eu ? » En espérant que la démente cavalerie débarquerait dans les… disons trente prochaines secondes. À défaut d’un toubib, l’espoir faisait vivre. Et bordel, ils en avaient besoin, d’espoir, vu que leurs ridicules balles rebondissaient sur les boucliers balistiques comme une jeunette du Van Nyus sur son premier client.

Durant leur progression, elle percuta Moore. La douleur la plia en deux, et elle s’effondra. Ce fut peut-être ce qu’il lui sauva la vie. Quelques secondes plus tard, une rafale de balles s’écrasa sur les Prayers. Symea vit ses collègues tomber à leur tour, certains à cause de leurs blessures, les autres pour s’abriter. C’était le choc. Jamais autant de gradés n’avaient été attaqués ainsi, en plein dans leur territoire. Le silence suivit les chutes. Il y avait des dégâts. Pour le gradé de Fallenwalk, c’était littéralement mort. Avec la balle qu’il s’était pris dans la gorge, il en avait pour deux minutes grand max, le temps de se noyer dans son propre sang. Moore l’avait pris en pleine poitrine – à droite, donc cœur intact – et Georgia, dans le ventre. « Putain, les Watts, ne nous claquez pas les doigts ! » Fallait compresser, bordel, mais elle ne pouvait même pas s’en occuper. Jensen et deux autres mecs choisirent cet instant pour se ramener sur la passerelle et leur lancer un ultimatum.

Oakstone ne voyait aucune porte de sortie. En supposant qu’ils arrivent à se barrer et s’enfermer dans une des salles de réunion, il faudrait maximum trois minutes aux flics avant de pénétrer dans les lieux et de les descendre un par un. Dehors, même pas la peine d’y penser, ils se feraient cueillir, putain. La seule option, c’était de gagner du temps. L’avantage, avec cette rafale de balle, c’était qu’elle était passé d’éclopée à gradée la plus fonctionnelle de leur petit groupe démoli.

D’un discret signe de tête, signifiant « faites moi confiance », elle invita les autres à imiter son geste. Lentement, elle déposa son arme sur le sol, puis l’envoya valser au pied des flics. « Allez niquer vos nazis de mères. » Elle le prononça distinctement, dans le plus grand des calmes et la haine la plus pimpante. Ça, c’était de l’attaque personnelle pour Jensen. S’ils survivaient tous les deux à cette vaste connerie, elle lui ferait regretter de ne pas y être resté.

Résumé:

(c) 2981 12289 0

Showdown, shootout, spread fear within, withoutPrayers vs Cops J’ai encore les glandes de cette foutue porte alors qu’on entre dans le hangar. J’avance et me dirige là où un des Prayers m’indique où sont rangés les armes. J’enlève le tissu qui les protège et dans des caisses, des AK-47 qui me font de l’œil. Pas le temps de niaiser, on a des flics à buter. Je commence à donner des ordres tout en donnant les armes à chacun d’entre eux avec des munitions qui vont avec. Ils arment, visent un point sans tirer. Et tandis que j’arme les autres, Marisol, cette femme qui n’a pas de surnom parce qu’elle en mérite pas, me fait un laïus sur sa volonté de vivre.

Te tirer ? Eh beh, c’est avec des gens comme toi que les Shadows ont gagné, dis-je venimeuse et ironique. Non, on se tire pas d’ici. On les affronte. C’est notre territoire. Tu as raison sur une chose, on connaît le terrain, on a un avantage. Et je préfère crever l’arme à la main plutôt que comme une connasse partie la queue entre les jambes. T’as le choix, tu te tires ou tu te bats mais crois-moi, ton choix finira par se savoir.

L’avantage des gars qui bossent ici, ils ont des talkies-walkies pour communiquer entre eux. Un gars vient me voir pour m’annoncer que ceux restés dehors nous envoient les flics vers nous. C’était pas le deal. À croire qu’ils comprennent pas les ordres simples.

Quoi ? Okay, on se positionne. Toi, Rouflaquette, tu connais la zone ? Bien. Y’a un moyen de monter sur le toit ? Il nous faut une vue d’ensemble, savoir où tous ces connards sont. Et si t’en as un, tu l’élimines et tu prends sa place et tu nous donnes tout ce que tu vois.

Pas besoin de chouiner, il hoche de la tête et part en arrière. Un en moins, c’est risqué mais en avoir un en hauteur nous permettra de savoir où sont positionner les flics et si jamais on doit partir en retraite – bien que je préfère crever sur place – on peut se barrer y aller tout en sécurité. Je suis pas con quand même. Pas trop du moins.

Tiens, dis-je en lui lançant mon téléphone à Marisol. Faut qu’on sache ce que font les autres glands à la réunion, s’ils s’en sortent mieux que nous. Oh et appel les renforts, on risque de crever.

Je lui offre mon plus grand sourire avant de signaler à chacun les positions qu’ils vont prendre. On va utiliser le hangar comme zone de rencontre. Les grands conteneurs vont nous permettent de se faufiler, de les prendre par surprise. Et mes yeux tombent sur une bouteille d’alcool laissée par un imbécile. Je fais signe à un des gars de s’occuper d’en faire un cocktail. On aura pas tous les ingrédients pour mais ça pourra les surprendre quelques secondes.

Le plan est simple, ainsi disséminé dans le hangar, on va les surprendre, tirer quelques coups, se barrer et ainsi de suite. Aucun doute qu’ils vont utiliser des fumigènes et autres. Une zone fermée est risquée mais ils se recevront à l’entrée du hangar un petit cocktail dans la gueule pour les ralentir et surtout nous laisser l’opportunité de leur tirer dessus, faire le plus de dégâts. Et on reculera, petit à petit tout en se cachant entre deux containers. Faudra qu’on se protège, que si un de ses enfoirés vise l’un d’entre nous, c’est qu’il sera visible, un autre répliquera pour le protéger. Les autres, ceux qui les ont ramenés continueront de leur tirer dessus. C’est ça la famille. Je cacherai pas - si en fait - que j'ai peur mais pas le temps d'y penser. On a des flics à buter. Un territoire à protéger.

:copyright: Crimson Day

Spoiler:

___________

Feel so much better than usual

- I'm unstoppable

Showdown, shootout, spread fear within, without

Fallenwalk, 20 mars 2021, 11h00

Vous alliez tous y rester si ça continuait comme ça, n'est ce pas ? C'était bien possible même si tu n'avais pas prévue de clamser aujourd'hui clairement. Au pire, tu pourrais avoir ton infirmière attitrée mais tu préférais que ça ne soit pas le car, cela voudrait dire que tu ne serais pas en mesure de profiter pleinement du corps de Nors. Mais bon, toutes les balles n'allaient pas être éternellement attirées par Symea, c'était une évidence, tu finirais par t'en prendre une, à un moment, ou un autre surtout que Jensen était dans le coup. Tu savais qu'il t'adorait, qu'il avait envie de mettre ta tête sur un pieu pour signaler son territoire, alors s'il pouvait te faire un deuxième trou de balle, il n'hésiterait clairement pas. Et les balles pleuvaient, si bien que tu t'en prenais une. L'adrénaline produite par les événements t'empêchait de trop avoir mal pour le moment, mais la balle avait traverser le ventre, sur le côté, mais ton aine saignait. Tu devais compresser pour que ça aille au mieux. Tu ne pensais pas qu'un organe vital puisse avoir été touché, mais cette balle là, ce n'était pas une putain de balle en caoutchouc clairement. Etrangement, le sort de tous les autres t'importait peu, en dehors de celui de Symea. Pourquoi est ce que tu ne voulais pas qu'elle crève ? Parce que tu savais que si elle était encore dans les parages, cet enfoiré de Jensen pourrait être tenu un minimum en laisse. Sans elle, c'était fini, tu étais finie car il était persuadé que tu étais une traitresse, parce que tu ne lui avais pas tout donné, parce que tu n'as jamais eu de compte à lui rendre, et ça il ne pourrait jamais le comprendre. Il aurait pu mettre ta mission à mal à trop vouloir te parler mais bon, est ce que tu avais réellement eu le choix ? Jensen faisait donc une offre, une première et une dernière alors que certains corps jonchaient le sol, que cette attaque surprise avait été trop bien menée par rapport à la dernière. Ils n'avaient pas pu progresser si vite en si peu de temps, il y avait un truc, c'était une certitude, mais ce que tu n'appréciais, c'était que tu n'avais pas du tout été prévenue, et que tu étais prise dans la tourmente de l'ennemi. Tu en référerais à tes supérieurs si tu survis à tout cela mais clairement, il y avait un souci.

" T'inquiètes, on va pas clamser aujourd'hui, peut être demain ... "

Non, ce n'était pas prévu au programme qu'on se le dise, mais bon voilà, ce n'était pas non plus la folie, la joie dans les chaumières. Et donc, Symea posait son arme à terre. Tu l'imitais, il fallait se rendre à l'évidence, si la cavalerie arrivait à temps, il fallait en gagner le plus possible, car même proche, ce ne serait si simple que ça. Tu n'étais pas en état de faire le compte de ce qui restait ici avec vous, mais ça ne le ferait pas.

" C'est bon, c'est bon ... "

Tu n'avais pas envie d'en dire plus mais vous ne montriez aucun signe de résistance, entre les morts et les blessés, c'était une belle brochette que vous étiez.

Spoiler:

___________

We must play our lives like soldiers in the field. The life is short. I'm running faster all the time. Strength and beauty destined to decay. So cut the rose in full bloom, 'Til the fearless come and the act is done.

A love like blood

(c)syndrome

Invité Invité

Visiblement, sa volonté de survie n'était pas partagé par ses compères, surtout par Olivia. Sol n'était pas vraiment surprise de sa part, mais les autres ? Bah, après tout, Olivia avait plus de poids que la latine, ils allaient la suivre jusqu'à la tombe. Et elle aussi, parce qu'elle avait pas vraiment le choix et Hetfield lui fit clairement comprendre. Elle pouvait suivre. Techniquement. Mais pour combien de temps ? Du coup, la latine ravala ses commentaires. Elle se contenta de fusiller Olivia du regard alors qu'elle donnait ses instructions aux autres.
Elle attrapa une boîte de 9mm et un autre glock dans les caisses d'armes. Elle était nulle avec les armes de plus gros calibres, ce n'était pas un soldat, son taf à elle c'était la discrétion, elle préférait la maniabilité. Elle engagea un chargeur plein dans la chambre, l'arma et elle répéta l'opération pour le second. Elle n'était pas à l'aise, mais elle était déterminée à survivre. Toujours.

Cest lorsqu'elle eu fini de s'équiper que la cheftaine lui envoya son téléphone. Les autres ? Est-ce qu'ils en avaient quelque chose à faire ? Enfin, s'ils se démerdaient mieux ils pourraient venir leur sauver les miches, peut-être. Qui appeler en premier ? Les autres évidemment, ils avaient peut-être déjà appelés, puis ça permettrait de faire un topo au QG.
Après avoir – dans un mouvement empli de grâce – rattrapé le téléphone d'Olivia elle jeta un coup d'oeil au répertoire. Marisol avait croisé Oakstone et Noumair un peu plus tôt, elle savait donc qu'elles étaient présentes. Elle composa les numéros des deux Capo mais aucune réponse. En même temps elles devaient être occupés, les coups de feu quelques instants plus tôt en était la preuve. Et maintenant ? C'était le silence et ça, c'était bien plus bruyant.

« A côté ça répond pas et c'est silencieux. »

Le regard qu'elle jeta à Olivia était assez explicite, ça puait. En tout cas au QG, elle réussit à avoir quelqu'un et ça, c'était plutôt pas mal.

« Oui, c'est les docks, ça chie ici, y a une grosse descente de flic, on est dans la merde, y a même des snipers. Combi... Qu'est-ce que j'en sais moi, beaucoup trop pour nous ! Rappliquez bordel et venez équipez ! On va se barricader et gagner du temps mais on tiendra pas longtemps ! Au hangar principal, j'ai pas de nouvelles, y avait Oakstone et Noumair là-bas. Nous on est au petit hangar, à la réserve d'armes. Ok... Ok... OK ! »

Elle raccrocha et retourna auprès d'Olivia lui rendre son téléphone.

« Bon, ils vont arriver, il va leur falloir une dizaine de minutes, le temps de s'équiper et tout. Va falloir gagner du temps. »

Il fallait espérer que les flics n'aient pas mit des barrages entre ici et la zone 33. Ce que Marisol aurait fait pour un assaut bien menée, car c'était évident et la zone 33 n'était pas très loin d'ici en voiture. En tout cas, elle espéré qu'en ayant mentionné Oakstone et Noumair elle ai convaincu les autres de se bouger, si les deux tombaient aux mains des flics, Phillmore risquait de le sentir passer.
Marisol prit place non loin d'Hetfield, elle était bonne tireuse, elle couvrirait Sol efficacement au besoin, le contraire était moins vrai toutefois.
Il y avait plus qu'à attendre donc ?

Résumé:

Showdown, shootout, spread fear within, without

Fallenwalk, 20 mars 2021, 11h00

** RAPPEL : SYSTÈME DE JEU **
Spoiler:

** MISES EN SITUATION & JETS DE DES **

Vous voici au quatrième tour de jeu

Nous allons modifier l'ordre de jeu afin de mieux dynamiser ce RP resserré sur de l'action. Voici le nouvel ordre : @Jensen Pendragon > @Symea Oakstone > @Georgia O. Noumair > @Olivia Hetfield > @Jensen Pendragon > @Marisol Florès > @Downfall (MJ)

Voici la carte actualisée (encore merci à Olivia et Jensen):
Spoiler:

Chères PRAYERS. L'équipe d'assaut menée par Jensen dans le hangar où se tenait la réunion des gradés a pris le contrôle de la zone. Plus aucun Prayers n'est en état de combattre, et les blessés en état d'interagir (qui sont au nombre de 3 : les deux PJs et le PNJ Moore, Capo du Watts) acceptent l'offre de la BSEI de se rendre. Leur objectif est de gagner du temps, dans l'espoir d'être rapidement secourus par des renforts...
Des renforts qui arrivent à Fallenwalk (grâce au 6 de Georgia), de l'ordre de 10 personnes armées, avec pour objectif de rejoindre le hangar où vous êtes. Il vous appartient, Symea et Georgia de jouer cet effectif de renfort. Vous devrez cependant jeter un dé afin de connaître l'efficacité de leurs manœuvres. En cas de réussite, un second dé de dégâts vous sera demandé.

Non loin, Olivia, Marisol et 7 autres Prayers se sont repliés dans un hangar où des armes étaient stockées. Une communication est tentée avec les gradés réunis à Fallenwalk, sans succès ; puis un appel est passé à la Zone 33, la situation à Fallenwalk est brièvement expliquée et des renforts sont demandés
Alors que vous vous organisez afin d'attirer le seconde équipe d'assaut dans vos filets, vous entendez des coups de feu éclater à l'extérieur, au loin, et supposez justement l'arrivée de renfort (grâce au 6 d'Olivia). 8 autres Prayers vont vous rejoindre. Il vous appartient, Olivia et Marisol de jouer ce nouvel effectif. Vous devrez cependant jeter un dé afin de connaître l'efficacité de leurs manœuvres. En cas de réussite, un second dé de dégâts vous sera demandé.
Enfin, Olivia, tu vas jeter une troisième jet de dés pour savoir si le subalterne parvient à se poster sur le toit. Jensen fera un dé d'opposition.

Récap' :

Cher JENSEN, la première équipe d'assaut ayant le contrôle du hangar, tu organises avec succès la sécurisation du site, et toi et tes hommes pourront ainsi diviser par deux le nombre de blessés en cas de réussite de l'action des Prayers (jets de Georgia et Symea). Tu peux jeter un dé pour savoir si tu feras des dégâts parmi les renforts.
La seconde équipe est en plus mauvaise posture. Je vais te demander deux autres jets de dés. L'un correspondra à la réactivité avec laquelle cette équipe fera face à la contre-attaque des Prayers et l'arrivée des renforts (en cas de réussite, les dégâts dans tes rangs seront divisés par deux), et les deuxième jet de dés à tes dégâts.

Récap' :

>> Tous les dés doivent être jetés avant que le prochain tour ne commence, car les résultats auront des incidences immédiates sur vos possibilités de jeu. <<

** INTERPRÉTATION DES DÉS **

→ Chères PRAYERS
(DUO SYMEA/GEORGIA) Les renforts dédiés au sauvetage des gradés sont tout proche et ont élaboré un plan d'attaque efficace. Ils mettent 2 agents des forces de l'ordre en mission de bouclage hors d'état de combattre mais subissent 2 pertes également. Le nouvel effectif des renforts est donc de 8 personnes. Plus les 3 gradés encore dans le hangar qui se sont rendus à la BSEI.
(DUO OLIVIA/MARISOL) Les renforts arrivent rapidement et sont proches. Cependant, leur offensive est mal organisée. Ils parviennent à mettre hors d'état de combattre 3 agents des forces de l'ordre en mission de bouclage, au prix de 2 des leurs. Le nouvel effectif des renforts est donc de 6 Prayers.
L'affrontement qui va être livré dans le hangar fera également 3 pertes chez les agents de la BSEI/SWAT, et 2 du côté des Prayers.
Enfin, le Prayer envoyé sur le toit de l'immeuble parvient à s'y positionner.

→ Cher JENSEN,
Si l'équipe 1 d'assaut est encore au complet, l'équipe 2 a subi de lourdes pertes depuis le début de l'intervention. Ils ne seront à la fin du tour de jeu plus que 3 agents.
Les équipes de bouclage ont elles aussi subi des dommages, avec cinq agents hors d'état de combattre. Les Prayers parviennent à infiltrer Fallenwalk sous des coups de feu nourris.

Nota bene : Le MJ tient un tableau des différents effectifs. Vu que vos personnages sont en pleine action, il leur est forcément difficile d'estimer le nombre de personnes engagées dans cet affrontement. Vous aurez donc des indices quant à l'état de vos troupes via les interventions du MJ, mais il vous est possible de le solliciter via MP si vous jugez que votre personnage peut avoir une idée précise de ces effectifs.

Bon jeu !

Invité Invité

Équipe de Jensen

Au moins une bonne nouvelle et une bonne décision dans ce monde de débiles. Jensen, sous la menace des armes, fit descendre les Prayers, les plus blessés se faisaient porter par leurs camarades. Jensen ne fit pas un geste pour les aider, il ne fallait pas déconner, par contre, il tint parole. Il fit venir une trousse de premiers soins pour que les blessés puissent être stabilisés le temps qu’ils partent en taule. Jensen n’éprouvait aucun remords pour les blessures : « Numéro 4. Bon, les Prayers, voilà comment ça se passe. Lui c’est Horacio, c’est votre meilleur ami et il ne veut pas vous voir partir, donc il a chargé son magnifique Remington 870 avec de la chevrotine chemisée et un choke large, traduction… grosse dispersion pour être sûr de vous toucher. » Petit détail que les Prayers ignoraient, la première cartouche, celle qui était chambrée était encore une cartouche non létale, comme celle qui avait touchée Symea plus tôt.

Jensen continua son exposé : « Dispersion large veut dire aussi qu’il risque d’y avoir des dommages collatéraux. Donc si vous faites la moindre connerie, vos copains payeront au même titre que vous. » Il fut interrompu par des coups de feu, une violente fusillade venait d’éclater au dehors. Jensen s’éloigna du groupe de prisonniers pour communiquer par radio : « Abandonnez le bouclage, regroupement et préparez la manœuvre Taran. On a des otages à exfiltrer. » La manœuvre en question consisterait à faire une colonne de camions, avec un transporteur de fonds blindé à l’avant, et de foncer au milieu des lignes Prayers.

Il revint vers son équipe et distribua ses consignes : « Le SWAT nous lâche, ces gros nazes ont peur de quelques tocards. Un mec pour ramasser les armes de ces débiles, un autre pour fouiller en vitesse les bureaux, on cherche des munitions, ils préparent une contrattaque. Pour les autres, on forme un cercle défensif, boucliers devant. Tenez-vous prêt en cas de problème. » Pas question de se risquer à l’extérieur pour le moment, il faudrait peut-être tenir un siège.

*

Équipe de Miller

Miller regarda ses hommes, ils étaient dans la merde, il n’y avait pas à dire. Six… ils étaient six seulement et sans protections balistiques, avec peu de munitions, il y aurait des choix à faire malheureusement. Devait-il prendre la radio et appeler à l’aide ? Peu probable que quelqu’un lui réponde, Jensen avait exigé la manœuvre Taran, il n’y aurait personne pour les aider avant plusieurs minutes.

Il y avait du mouvement dans la rue, des tirs, des éclats de voix et un homme passa devant l’entrée de l’immeuble et jeta un objet à l’intérieur. Le bruit métallique était très clair, effrayant même et Miller ne le connaissait que trop bien : « GRENADE ! » Mais il était trop tard, il eut une explosion assourdissante et des éclats tranchants traversèrent la chair, deux hommes tombèrent en hurlant, le tissu de leur pantalon réduit en charpie… laissant imaginer de l’état des membres. Miller lui-même tomba en arrière, portant la main à son bras droit, il y avait du sang et il refusait de lui obéir… Il avait pris des shrapnels. Plus que trois hommes valides, il appela finalement à la radio : « Ici Miller, j’ai besoin de renforts sur les quais, j’ai de lourdes pertes, nous avons besoin d’aide. »

Spoiler:

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