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| Downfall Chronicles #2 - Les Forces de l'Ordre et les Secours | |
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DownfallMAITRE DU JEU◭ CREDITS : avatar (c)syndrome . gif (c)sin city ◭ MESSAGES : 3084
| Sujet: Downfall Chronicles #2 - Les Forces de l'Ordre et les Secours Lun 14 Nov - 17:06 | |
| Les Forces de l'Ordre
HISTORIQUE
Le Mur et le quartier adjacent d'Inglewood ont été pendant longtemps les seuls territoires de l'armée américaine. Si au début du projet expérimental, une police - que l'on pourrait qualifier de "scientifiques" (car expérimentales elle aussi, et obéissant aux ordres des scientifiques) - fut mise en place, son organisation fut rapidement démantelée par la dispersion de ses agents. Le Mur représentait alors le dernier rempart entre une Downfall à la violence débordante, et le reste du monde. Le quartier d'Inglewood abritait des factions militaires défendant l'intégrité du Mur. Or, durant l'hiver 2014-2015, l'armée a été chassée de ses terres, forcée de se replier derrière le Mur. Durant un an, Downfall évolua sans autorité aucune en son sein excepté celle des clans et autres organisations puissantes.
Néanmoins, depuis la déclaration d'indépendance de la ville en mai 2016, et suite aux frappes aériennes ayant meurtri Downfall, l'armée et d'autres autorités ont réintégré Inglewood, faisant de ce quartier le Q.G. des autorités "légales" de l'ex-projet expérimental.
L'armée a donc récupéré sa caserne, et a établi dans un ancien bâtiment réhabilité une prison militaire servant à enfermer les prisonniers en attente de leur passage de l'autre côté du Mur. En effet, un tribunal a aussi été ouvert. Peu de procès y ont eu lieu, mais le système judiciaire naissant est bien déterminé à traduire en justice tout manquement à la Loi. Downfall obéit depuis mai 2016 aux lois du pays mais aussi à celles plus locales de l’État de Californie.
Dans son désir d'ingérence, Los Angeles a envoyé certains agents de la LAPD sur le territoire downfallien. Le DPD dépend directement de Los Angeles, et reçoit des directives et ordres différents de ceux de la Mairie de Downfall, ce qui occasionne de nombreuses tensions et dissonances. Des tensions vives émergent, opposant les "Chiens de Los Angeles" - qui sont là pour briser Downfall, quelques soient les moyens à employer - et les héritiers de la Justice - qui ont pour objectif de faire respecter la Loi et de lutter contre la criminalité pour le bien de la communauté et ce, de façon désintéressée et humaine. Un bras de fer qui désorganise la cohésion des autorités, et qui se joue principalement à Van Nyus.
Suite au meurtre de Jack Cleveland - alors Maire de Downfall – en septembre 2019, « l'enclave downfallienne » a été requalifiée comme un « borough » (arrondissement) de Los Angeles et est depuis sous l'autorité du Maire de L.A. L'état d'urgence perdure depuis son ordonnancement, il y a un an. Malgré les moyens déployés pour discipliner la ville, celle-ci demeure encore sauvage. Est alors nommé le 1er septembre 2020 Marshall Woodrow au poste de Procureur de la ville de Downfall. Personnage politique célèbre et controversé quant à ses prises de position jugées conservatrices et sécuritaires, Marshall Woodrow a pris ses fonctions de Procureur à Downfall à la demande de son vieil ami, le Maire Osborn, avec pour consigne de mettre au pas le « borough ».
Or, le 2 septembre 2021, le Procureur Woodrow est assassiné au cours d'un guet-apens organisé par les Prayers of Insanity, tendu au sein même du quartier d’Inglewood. Le Tribunal de justice est alors resté pendant plus d’une année sans Procureur général, et ce sont donc cinq procureurs adjoints qui ont dispensé une justice jugée lente et trop souvent bâclée, faute d’enquêtes de police suffisamment poussées. Car malgré les moyens donnés pour lutter contre le narcobanditisme, le DPD est en difficulté pour assurer sa mission de protection des civils. L'insécurité demeure. D'autant que les tensions avec le cartel se sont intensifiées, menant à des affrontements à même les rues. Certains blocs de Florence et du Watts sont devenues des zones de non-droit où aucune force policière ne peut paraître sans risquer d’y être attaquée.
Quant à l’armée, son intervention se contente de plus en plus à simplement étouffer la ville par un embargo qui restreint l’acheminement terrestre des marchandises à Downfall. Le Lieutenant-Colonel David Andersen est depuis septembre 2021 à la tête du bataillon et maintient sa politique « d’éradication du problème downfallien », dans l’objectif d’éviter toute contagion de cette ville malade au-delà du mur mais aussi de la confronter à une autarcie annihilante.
Dans les rangs de la police tout comme ceux de l’armée, des dissensions apparaissent au regard d’intérêts divergents et dévoyés. Les politiques de ceux qui dirigent prônent une forme d’oppression de la population pour mieux la contrôler, la surveiller et la punir. Or, certains agents et soldats ne parviennent pas à accepter ces ordres, leur sens du devoir déviant de celui qu’on leur impose à présent. Les démissions et demandes de mutation augmentent, tandis que ceux qui restent tentent d’œuvrer aux noms de l’assistance et de la protection.
Or, avec l'accession de Downfall au statut de territoire non incorporé et non organisé des Etats-Unis au 1er novembre 2022, beaucoup de choses changent...
DOWNFALL POLICE DEPARTMENT (DPD)
Au printemps 2016, une police spécifique à la ville de Downfall a été mise en place : la Downfall Police Department (DPD). Le département de police de Downfall fonctionne comme n'importe quel département de police. Il dépend de la Mairie de Downfall et constitue la propre police de la ville. Toutefois, en raison de son statut encore embryonnaire et du manque d'effectif, son organisation est encore assez instable et mal sectorisée. En effet, le DPD abrite une unité consacrée aux Crimes Majeurs, un service Anti-gang (et anti-criminalité) fusionné avec la brigade des stupéfiants sous le nom de la Division de lutte contre les Gangs et les Narcotiques, une brigade des Mœurs, ainsi qu'une unité du SWAT. Cependant, le manque d'effectif ne permet pas à chaque unité d'exister de façon indépendante des autres. Si bien que certains agents de police gravitent facilement entre les différents services.
Suite au fiasco de Carson Street en octobre 2020 (prise d’otages d’agents de la police par des Prayers of Insanity ayant débouché sur une fusillade en pleine ville), le DPD décide de monter sa propre force d’intervention. Cette unité, composée par trente policiers de l’anti-gang formés et entraînés aux techniques et tactiques d’intervention, a pour objectif principal la lutte contre le grand banditisme. Cette brigade spéciale dite d’enquête et d’intervention répond à des missions de police judiciaire (surveillance de suspects, collection d’informations, soutien aux autres services de police ; et ce, afin de travailler par anticipation, c’est-à-dire en amont des crises possibles) et de résolution lors de crises majeures (déploiement de leur force d’intervention, logistique, négociation, recours à la force). La brigade spéciale intervient principalement dans des situations en lien avec les organisations criminelles, dont le trafic de stupéfiants.
La BSEI peut organiser des actions avec le SWAT. Si le SWAT n'a pas vocation à enquêter, il peut être mobilisé pour gérer des situations crises (prise d’otages, séquestrations avec demande de rançon, attentat, attaque, etc.) en lien avec des dossiers de la brigade spéciale. D'ailleurs, après plusieurs mois d'enquête et de recueil d'information, la BSEI a conduit en mars 2021 – avec le soutien tactique du SWAT - sa première mission de terrain à Fallenwalk, en territoire Prayers of Insanity. La mission a connu une réussite partielle, avec l'arrestation d'un gradé du cartel. De plus, cette première percée dans le territoire du cartel downfallien a permis à le DPD d'obtenir des moyens supplémentaires – matériels et humains – dans sa lutte contre le narco-banditisme.
Les effectifs de le DPD se composent de 600 agents, dont la répartition est la suivante :
- Affaires courantes (pour des vols, agressions, violences domestiques, etc) : 355 postes
- Les Crimes Majeurs: 30 postes
- La Division de lutte contre les Gangs et les Narcotiques (fusion des service Anti-Gang et de la Brigade des Stupéfiants) : 125 postes, dont 30 dépendent de la Brigade Spéciale d'Enquête et d'Intervention (BSEI)
- La Brigade des Mœurs : 50 postes
- Le SWAT : 40 postes
S'ajoutent plusieurs employés civils (pour les tâches administratives et techniques), ainsi qu'un coordinateur par agences fédérales (FBI, DEA, ATF). Le DPD peut recevoir le soutien ponctuel de la LAPD, au besoin, que ce soit pour une intervention tactique menée conjointement avec le DPD, ou pour organiser et assurer la sécurité d'évènements spécifiques (manifestations, déplacements de politiques à l'intérieur du Mur, etc).
La hiérarchie du DPD se compose de la façon suivante (du grade le plus bas au plus élevé) :
- Officier de Police (Ils sortent de l'école de police et ont guère plus de deux ans d'ancienneté dans le milieu ; il s'agit des agents de terrain effectuant le plus souvent les patrouilles. Ils sont généralement les premiers à intervenir en cas de problèmes.)
- Brigadier (Ce sont aussi des agents de terrain ayant cependant une autorité sur les Officiers de Police.)
- Sergent (Ces agents de terrain ont à leur charge une petite équipe qu'ils doivent coordonner et diriger. Ils peuvent avoir la charge d'une enquête.)
- Lieutenant (Ces agents sont relativement indépendants. Ils ont souvent la charge d'une enquête et sont chargés de superviser et coordonner les agents qui sont sous son autorité.)
- Capitaine (Leur rôle est assez similaire aux Lieutenants. Cependant, leur autorité est plus importante, notamment de part leur rôle administratif avancé.)
- Commissaire Adjoint (Il assiste le Commissaire dans ses tâches. Malgré un pouvoir moindre à ce dernier, il représente son autorité.)
- Commissaire (Il dirige le commissariat, dans un rôle plus administratif et politique que purement judiciaire. Cependant, il doit pouvoir répondre de ses hommes, et est souvent chargé des communiqués à la presse et des contacts avec la Mairie et les autres autorités en place.)
L'action du DPD se concentre au Commissariat implanté dans la quartier d'Inglewood. Peu à peu, les agents tentent de contrôler les rues de la ville, mais leur présence est encore très mal perçue et peu respectée. La cohabitation reste compliquée, Downfall ne s'étant plus soumise à la Loi depuis plus de quarante ans. D'importantes brutalités à l'envers du corps policier sont recensées. Il en va de même des brutalités policières et des bavures. Or, malgré la volonté des autorités d'être plus crédibles pour être mieux respectées, celles-ci demeurent profondément corruptibles. Et si certaines mains refusent d'être graissées, alors les têtes sont mises à prix...
Malgré le succès du démantèlement des Prayers of Insanity en octobre 2022, le DPD est ébranlée par le décret faisant de Downfall un territoire non intégré non organisé au 1er novembre 2022. En effet, le LAPD retire son soutien, ce qui provoque le départ de nombreux agents, ceux-ci ne désirant pas vivre dans l’ex-quartier expérimental dans ces nouvelles conditions. Clairement en sous-effectifs, et avec des agents aux intérêts douteux, le DPD risque de sombrer dans la corruption. Or, au vu de la criminalité importante de ce territoire où les criminels pourront bien trop aisément se planquer et monter leur business sur une annexe du sol américain, de nouvelles missions d’infiltrations du FBI et de la CIA seront organisées.
L’ARMÉE
La Garde Nationale (composante réserviste de l'U.S. Army, mobilisée sur ordre du gouverneur de l'Etat de Californie au titre de l'Insurrection Act) et une compagnie de l'U.S. Army sont chargées d'assurer l'ordre au sein de l'ex-quartier expérimental.
Le Bataillon de la 4ème Division d'Infanterie implanté à Downfall représente à présent une compagnie de 200 militaires stationnés à Inglewood, en charge de la sécurité du Mur et de son passage entre l'ex-quartier expérimental et Los Angeles. La plupart sont de jeunes recrues qui n'ont pas vraiment eu le choix de leur affectation. Toutefois, parmi les rangs démoralisés de ce bataillon quelques convaincus sont farouchement investis par leur mission et sont prêts à tout pour que l'armée conserve un pied dans cette anti-chambre de l'enfer qu'est Downfall. L'objectif premier de ce corps d'armée est d'être présent sur un territoire qui tente d'échapper à toute autorité, notamment en vue, à moyen terme, de reprendre le contrôle de l'ex-quartier expérimental. Les missions de ces militaires relèvent principalement du maintien de l'ordre, de la sécurisation de certains quartiers (Inglewood, Civic Center) et de la protection du Mur. Bien que le Bataillon n'ait de compte à rendre qu'au Chef des Armées, il travaille de concert avec la D.P.D.
En réponse au mouvement grandissant des Unbroken, un corps des US Marines a été détaché à Downfall afin de prêter main forte au Bataillon de la 4ème Division. Leur force d'infanterie, mais également d'artillerie confère de nouveaux moyens à Inglewood dans ses luttes d'anti-terrorisme et d'anti-gang. Les Unbroken n'étant plus, les militaires continuent d'assurer le maintien de l'ordre à Downfall et interviennent régulièrement en renfort de la police dans le cadre d'opérations sensibles.
Au printemps 2022, la brèche dans le Mur – ouverte en septembre 2019 afin de symboliser l’appartenance du « borough » downfallien à la ville de Los Angeles – a finalement été partiellement reconstruite suite à l'annonce du Congrès de faire de Downfall un territoire non incorporé non organisé des États-Unis. Le Mur est restauré sur plusieurs mètres, et une grande porte en métal blindée est construite. Cette porte, gardée nuits et jours, est la seule à permettre l’entrée des marchandises par voie terrestre. Sous les ordres du Lieutenant-Colonel Andersen, de nombreux camions sont retenus, durant des jours voire des semaines. Certaines denrées sont pillées par l’armée, tandis que d’autres périment. Par conséquent, Downfall et sa population connaissent de nombreuses et longues pénuries.
Downfall devenant au 1er novembre 2022 un territoire non incorporé non organisé, l'armée n'a plus à être sur ce territoire à présent autonome. Elle garde cependant la frontière avec l’État de Californie en conservant une présence militaire sur le Mur. L'armée ne peut plus patrouiller à Downfall ni intervenir pour maintenir l'ordre. Officiellement du moins... car une équipe d'infiltrés pour le compte de l'armée va s'intégrer à la population downfallienne dans la perspective de récolter des informations sensibles. De plus, une équipe dite de liaison et de coordination est montée. Composée de six agents, elle a pour mission d'être le lien avec les autorités locales (DPD et l'administration de Rachel Cleveland) afin d'échanger autour des questions de sécurité. Leurs actions sont limitées à une forme de diplomatie. Or, ils sont mal vus des deux côtés (armée comme Downfall) malgré leurs bonnes intentions.
(c) syndrome
Dernière édition par Downfall le Mar 16 Avr - 17:57, édité 1 fois |
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DownfallMAITRE DU JEU◭ CREDITS : avatar (c)syndrome . gif (c)sin city ◭ MESSAGES : 3084
| Sujet: Re: Downfall Chronicles #2 - Les Forces de l'Ordre et les Secours Dim 23 Juil - 19:00 | |
| Les Secours DOWNFALL FIRE DEPARTMENT (DFD)
Profitant de la mise en place de la Downfall Police Department, la Mairie décide d'organiser et structurer un peu mieux les semblants de premiers secours pour également mettre en place le Downfall Fire Departement (DFD). Le département des pompiers gère également les ambulanciers secouristes, aussi présents dans les casernes en tant que premiers secours. Mais si le DFD essaye de fonctionner comme les autres départements de pompiers du pays, le manque de moyen l'empêche de véritablement le faire. Par exemple, il ne faut pas compter sur la présence d'un bureau des enquêtes incendies (qui enquêtent sur les raisons des départs d'incendies pour les classer comme criminels ou accidentels), le témoignage des pompiers servant souvent de seules informations pour les policiers voulant enquêter. De même l'Académie du DFD ne dispose pas de tous les moyens nécessaires pour former au mieux les futurs secouristes de Downfall, et doit même régulièrement demander à des pompiers en service de donner quelques cours aux recrues. On ne compte également que deux casernes à Downfall, qui devrait en posséder au moins le double étant donné son nombre d'habitants.
Une garde dure 24h, commençant à 7h à Downfall et se terminant à la même heure le lendemain, et est suivie de 48h de repos. Ce qui donne une rotation de trois équipes par caserne. Il arrive bien évidemment qu'une équipe termine sa garde en retard s'ils sont présents sur une intervention à cette heure (l'intervention primant toujours sur le reste).
- Équipes et leurs équipements des casernes:
Chaque caserne compte deux engins (ou camion) échelle, deux engins pompe et deux ambulances. Chacune des ambulances compte un binôme d'ambulanciers dont l'un des deux est nommé.e responsable, souvent le.a plus expérimenté.e des deux. C'est le.a responsable qui se retrouve à gérer les rapports d'intervention ainsi qu'à devoir répondre de son.sa collègue en cas de problème. Chacun des engins, échelle comme pompe, compte un équipage de 5 pompiers plus un lieutenant. L'engin échelle est le nom donné au camion possédant une grande échelle (ou aérienne) sur le toit. L'engin pompe est le nom donné au camion possédant un canon à eau sur le toit ainsi qu'une citerne servant de réserve d'eau pour les autres tuyaux raccordés au camion (et pouvant être alimenté via un tuyau relié à une bouche à incendie). Les aspirants sont affectés à une ambulance ou un engin indépendamment de l'équipage déjà en place et selon leur formation à l'académie (ambulancier ou pompier).
Les effectifs de la DFD se composent de 185 secouristes, dont la répartition est la suivante : • Aspirants : 6 postes • Pompiers : 120 postes • Ambulanciers : 24 postes • Lieutenants : 24 postes • Capitaines : 6 postes • Chefs de bataillon : 3 postes • Commissaire Adjoint : 1 poste • Commissaire : 1 poste S'ajoutent à cela plusieurs employés civils (pour les tâches administratives), les formateurs de l'académie et quelques civils réservistes.
- Hiérarchie des postes:
La hiérarchie de la DPD se compose de la façon suivante (du grade le plus bas au plus élevé) : • Aspirant pompier ou ambulancier (Ils sortent de l'académie et n'ont pas plus d'un an d'expérience sur le terrain. Encore chaperonnés par les autres pompiers pour les former, ils apprennent un peu plus à chaque intervention. Ils sont souvent à l'arrière les premiers temps, suivant d'autres pompiers comme leurs ombres, et héritent régulièrement des corvées les plus pénibles à la caserne.) • Pompier ou Ambulancier (Ce sont ceux qu'on croise le plus souvent et qui ont réussi leur période d'essai comme aspirants. Ils ont une certaine autorité sur les aspirants mais remplissent plus un rôle de formateur et mentor.) • Lieutenant (Ils dirigent un engin, pompe ou échelle, et l'équipe de 5 pompiers assignés au véhicule. Ils interviennent aux côtés de leur équipe.) • Capitaine (En l'absence d'un chef de bataillon dans la caserne, c'est lui qui la dirige la caserne durant sa garde. Il participe également aux interventions, pour diriger ses lieutenants et ses hommes un peu en retrait pour avoir une vue d'ensemble ou aux côtés de son lieutenant et ses hommes cas d'absence d'un lieutenant ou d'interventions compliquées.) • Chef de bataillon (Posté dans une caserne et soumis aux gardes lui aussi. C'est lui qui dirige l'ensemble des casernes d'un bataillon, soit les deux de Downfall, durant sa garde. Il n'est appelé sur le terrain que lorsqu'il faut coordonner plusieurs équipes pour une grosse intervention, restant alors en retrait dans un rôle de pure coordination et prises de décision.) • Commissaire Pompier Adjoint (Il assiste le Commissaire Pompier dans ses tâches. Malgré un pouvoir moindre à ce dernier, il représente son autorité. Son bureau se trouve également à la mairie, pas bien loin de celui du Commissaire Pompier. Il n'est pas soumis aux gardes mais doit être joignable à n'importe quelle heure du jour et de la nuit.) • Commissaire Pompier (Il dirige le département, dans un rôle plus administratif et politique que purement d'intervention. Pour preuve de cela, son bureau se trouve à la Mairie et non dans une caserne. Cependant, il doit pouvoir répondre de ses hommes, et est souvent chargé des communiqués à la presse et des contacts avec la Mairie et les autres autorités en place. Il n'est pas soumis aux gardes mais doit être joignable à n'importe quelle heure du jour et de la nuit.)
Le manque de moyen du DFD ne leur permet d'avoir que deux casernes en ville. La première se trouve à la frontière entre les quartiers de Gardena, Palos Verdes et du Civic Center, et la deuxième à la frontière entre les quartiers de South Gates, Florence et Van Nuys. En raison de sa proximité avec le quartier résidentiel des plus riches de la ville et de la plupart des décisionnaires, la première caserne est générale celle qui reçoit le meilleur matériel quand les finances permettent de le renouveler ou d'acheter de nouveaux équipements. La joie des inégalités…
Le DFD est assez mis en difficulté par le décret faisant de Downfall un territoire non intégré non organisé au 1er novembre 2022. S'il pouvait compter sur le soutien du LAFD pour récupérer certains équipements de secondes mains ou permettre des passerelles faciles à certains membres du LAFD pour intégrer le DFD, cela ne va plus pouvoir être le cas. Le manque de finances, de moyen de formations et de gradés correctement formés et expérimentés va se faire encore un peu plus ressentir dans les mois à venir. De plus, le départ de certains anciens membres du LAFD, dont certains gradés, pour retourner de l'autre côté du mur ne va pas aider à la situation.
(c)AshTac
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